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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 16:30
les bonnes répercussions de l'aumône et de la charité envers les pauvres
Les bonnes répercussions de l'aumône et de la charité envers les pauvres, sont mises en avant dans le hadith d'Aboû Hourayra (رضي الله عنه), rapporté par Mouslim dans son recueil (n°2984), d'après le Prophète (صلى الله عليه و سلم) qui dit: 
 
"Tandis qu'un homme marchait sur une terre aride, il entendit une voix provenant d'un nuage: "Arrose le jardin d'Untel". Ce nuage se dirigea alors vers un terrain pierreux sur lequel il déversa son eau; or, un seul conduit reçut toute l'eau déversée. En suivant ce cours d'eau, l'homme trouva un cultivateur conduisant l'eau vers son jardin à l'aide d'une pelle. "Comment t'appelles-tu, ô serviteur d'Allah?", demanda-t-il au cultivateur. "Untel"- c'était en effet le même nom qu'il avait entendu provenant du nuage-. Puis le cultivateur poursuivit: "Mais pourquoi, ô serviteur d'Allah, veux-tu savoir mon nom?"- "Eh bien! J'ai entendu une voix provenant du nuage dont vient l'eau que voici, ordonnant le nuage d'arroser ton jardin. Que feras-tu donc avec les fruits de ton jardin?" "Après ce que tu m'as dit, reprit le cultivateur, sache que j'attends la récolte dont je fais l'aumône du tiers. Je garde un autre tiers pour la nourriture de ma famille, et ressème le tiers restant". 
 
Dans une autre version rapportée également par Mouslim:  " Je donne le tiers aux miséreux, aux mendiants et aux voyageurs."
 
 
 
 
Titre: L'adoration et ses répercussions sur la vie du musulman
Auteur: Cheikh 'Abd Al Mouhsin Al'Abbad
Page: 53-55
Edition: Islamhouse
Retranscription : oumomeya
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 16:22
La protection d'Allah pour son serviteur, comporte deux sens:
La protection d'Allah soubhanahou wa ta'ala pour son serviteur, comporte deux sens: 
 
1. Protéger son corps, ses biens, ses enfants et sa famille.
 
2. Protéger sa religion, en le sauvegardant des ambiguïtés qui égarent et des désirs interdits. 
 
 
Titre: L'adoration et ses répercussions sur la vie du musulman
Auteur: Cheikh 'Abd Al Mouhsin Al'Abbad
Page: 41
Edition: Islamhouse
Retranscription : oumomeya
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
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1 septembre 2013 7 01 /09 /septembre /2013 19:33

Vidéo

Les clés du bien

Cheikh 'Abdel Razzak Al 'Abbad

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 19:31

Vidéo:

At-Taqwa (La Crainte d'Allah)

AbderRazzak al Abbad al Badr

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10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 15:17
Chapitre
 
 
"Ô vous les croyants! Evitez de faire trop de suppositions sur autrui, certaines suppositions sont un péché. Ne vous espionnez pas, et ne médisez pas les uns sur les autres. L'un de vous aimerait-il manger la chair de son frère mort? Non! Vous en auriez horreur. Et prémunissez-vous contre Allah, car Il est Celui Qui accueille le repentir, Il est Miséricordieux" (Al-Hujurât: 12)
 
 
Nous avons là une magnifique comparaison basée sur l'analogie. En effet, Allah compare le fait d'écorcher l'honneur de son frère au fait de déchirer sa chair. Et puisque la personne qui médit viole cet honneur en l'absence du concerné il ressemble en cela à quelqu'un qui déchire la chair de son frère en l'absence de son âme, après sa mort. Et ce, car la personne qui est l'objet de la médisance est incapable de prendre sa propre défense face à ce qu'on lui reproche, puisqu'elle est absente. Elle ressemble donc à un mort qu'on découpe sans qu'il puisse se défendre. 
 
La fraternité implique la pitié mutuelle, l'entretien du lien et l'entraide, mais le médisant n'honore pas cette fraternité, car il va à l'encontre de ce qu'elle implique. Il critique, accuse et s'en prend à son frère. C'est donc comme s'il découpait sa chair. Alors que la fraternité implique de protéger, de prendre la défense de son frère. Et puisque le médisant prend du plaisir à dire du mal, puisqu'il y prend goût, c'est comme s'il mangeait la chair de son frère après l'avoir découpée. Egalement, puisque cela lui plait et qu'il aime cela il est comparé à quelqu'un qui aime manger la chair de son frère mort. Aimer cela vient s'ajouter au simple fait de manger, tout comme manger vient s'ajouter au simple fait de découper. Médite donc la touchante beauté de cette allégorie, observe comment l'abstrait y concorde parfaitement avec le concret. 
 
Regarde attentivement comment Allah informe qu'ils détestent consommer la chair d'un frère mort. Il dit à la fin du verset que c'est leur sentiment, de même qu'à son début Il leur reproche d'aimer cela. Et donc, puisque cette pratique les répugne naturellement, comment peuvent-ils apprécier ce qui est identique? Allah emploie donc ce qu'ils détestent pour leur faire admettre la laideur de ce qu'ils aiment. Il compare ce qu'ils affectionnent à ce qui les écoeure le plus, à ce qu'ils fuient le plus. Raison pour laquelle, au vu de l'entendement, de l'instinct et de la sagesse, ils se doivent de fuir comme la peste tout ce qui ressemble à cette pratique. C'est grâce à Allah qu'on obtient le succès. 
 
 
Titre: "...Et ces paraboles, nous les citons aux gens afin qu'ils réfléchissent..." coran s.59 v.21, L'explication des paraboles citées dans le noble coran
Auteur: Ibn Qayyim Al-Jawziyya
Pages: 53-54
Edition: Dar Al Muslim
Retranscription: oumomeya
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
 
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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 15:14
Chapitre
 
 
"Ceux à qui fut confiée la Thora, mais qui ne l'ont pas appliquée, sont comparables à un âne qui transporte des livres. Ceux qui traitent de mensonges les versets de Dieu font l'objet d'une bien mauvaise comparaison! Et Dieu ne guide pas les gens injustes" (Al-Jumu'a : 5)
 
Allah illustre ici les personnes auxquelles Il a permis de mémoriser Son livre afin qu'ils puissent y prêter foi, le méditer, le mettre en pratique et y inviter autrui, mais qui n'ont rien fait de tout cela et se sont contentés de le retenir par coeur. Ils le récitent sans être attentifs, sans chercher à le comprendre ou se conformer à ses directives ou en faire une référence juridique. Leurs actes ne sont pas en conformité avec le coran. Ils sont comparables à des ânes qui portent des ballots sans même savoir ce qui se trouve sur leurs dos... Le seul lien qu'ils ont en commun avec leurs charges est qu'ils en sont les porteurs. Ces gens ne tirent du Livre d'Allah qu'un profit comparable à celui que tirent ces bourriques des livres qu'elles portent sur le dos. Bien que cette allégorie illustre les Juifs, sa signification s'étend à tous ceux qui reçoivent le Coran, mais ne l'appliquent pas et ne lui rendent pas le respect qui lui est dû. 
 
 
Titre: "...Et ces paraboles, nous les citons aux gens afin qu'ils réfléchissent..." coran s.59 v.21, L'explication des paraboles citées dans le noble coran
Auteur: Ibn Qayyim Al-Jawziyya
Pages: 44-45
Edition: Dar Al Muslim
Retranscription: oumomeya
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 19:24

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L'étendue de la Corde D'Allah

Cheikh Abderrazzâq Ibn Abdelmouhsin Al-Abbâd

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28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 15:10

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"Ou bien penses-tu que la plupart d'entre eux entendent ou comprennent? Ils sont plutôt comparables à des bestiaux, et sont même plus égarés encore" (Al-Furqân: 44)
 
 
Dans cette autre allégorie, Allah compare la majorité des gens à du bétail. Car ils ont en commun le fait de n'être ni disposé à accepter la vérité ni prêt à la suivre. Allah déclare que la majorité des gens est plus égarée que du bétail. En effet, lorsqu'on montre aux bêtes le chemin à suivre elles l'empruntent et suivent ainsi la route sans dévier, alors que la plupart des humains sont invités par les prophètes  à suivre la bon itinéraire mais ils ne l'empruntent pas. Ils ne distinguent pas entre ce qui leur nuit et ce qui leur est utile alors que les bêtes remarquent les plantes et les sentiers qui leurs sont nuisibles et elles les évitent. Elles distinguent ce qui leur est utile et le préfèrent à ce qui leur nuit. De plus, Allah n'a pas doté ces animaux d'esprits leur permettant de raisonner ni de la faculté de parler alors que ces gens en bénéficient sans pour autant en tirer profit. Il en est de même de leurs raisons, ouïes et vues... Cette majorité est donc pire que des bestiaux, car ceux qui n'empruntent pas le droit chemin alors qu'ils disposent d'un guide sont bien pires que ceux qui ne l'empruntent pas et qu'aucun indice ne guide. 
 
 
Titre: "...Et ces paraboles, nous les citons aux gens afin qu'ils réfléchissent..." coran s.59 v.21, L'explication des paraboles citées dans le noble coran
Auteur: Ibn Qayyim Al-Jawziyya
Pages: 33-34
Edition: Dar Al Muslim
Retranscription: oumomeya
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
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21 juillet 2013 7 21 /07 /juillet /2013 17:35
Question: La femme qui a ses menstrues peut-elle lire ou réciter le Qur'an? 
 
Réponse: Les avis des savants sont partagés sur ce sujet également. Toutefois, il est préférable que la femme qui a ses menstrues évite de réciter le Qur'an à haute voix sauf en cas de nécessité, comme c'est le cas par exemple d'une enseignante ou d'une étudiant. En revanche, il n'y a pas de mal à ce qu'elle fasse la récitation silencieuse sans prononciation et qu'elle médite le Qur'an.
 
Titre: La Responsabilité de la femme musulmane
Auteur: Cheykh Abdallah Ibn Jarrallah Al-Jarrallah
Edition: Assia
Pages: 148
Retranscription: Oum Chaïma
Site: rappel01.fr
Acheter le livre en ligne: www.daralmuslim.com
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16 juillet 2013 2 16 /07 /juillet /2013 19:45

Parole de vérité concernant Sheikh Rabi' ibn Hadi Al Madkhali

Par Cheikh Falah Ismaïl Al Mundakar

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