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Allah عزّ و جل a dit :
"Aujourd'hui, J'ai parachevé pour vous votre religion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j'agrée l'Islam comme religion pour vous" s Al Maïda v.3
Comment
améliorer ta situation ?
Ibn Al Qayyim
Viens ! Je t’invite à t’introduire auprès d’Allah -aza wa jal- et à Lui tenir compagnie dans la demeure de la Félicité, sans effort, ni fatigue, ni épuisement, par le chemin le plus court et le plus aisé.
Pour cela, sache que tu vis un instant délimité par deux autres moments, et cet instant est en fait l’existence que tu mènes actuellement. C’est le présent délimité par le passé et le futur. Tu peux corriger le passé par le repentir, les regrets et la demande de pardon. Cela n’a rien de fatigant, d’épuisant et n’implique aucun effort harassant, car c’est un simple acte du cœur. Pour les actes futurs, abstiens-toi de commettre des péchés. Cette retenue n’est qu’un délaissement reposant, car ce n’est pas un acte accompli par les membres du corps qui te serait difficile à supporter. Il s’agit simplement d’une résolution et d’une intention fermes qui reposent le corps, le cœur et l’âme.
Rectifie le passé par le repentir. Quand au futur, prépare.-le en t’abstenant de commettre des péchés, en prenant une bonne résolution et en ayant une ferme intention. Les membres du corps ne sont sollicités à aucun de ces moments, et ne se fatiguent ni ne s’épuisent. Tout le problème réside finalement dans l’instant présent situé entre ces deux moments. Si tu le gâches, tu auras gâché ton bonheur et ton salut. Si tu le protège en améliorant les deux moments avant et après lui comme vu plus haut, tu seras sauvé et tu gagneras le repos, les plaisirs et les délices. Cependant, protéger le présent est plus éprouvant que de corriger le passé et de préparer le futur. Protéger le présent, c’est imposer à son âme de s’occuper de ce qui lui est bénéfique et qui est plus à même de lui apporter le bonheur.
Les gens à ce sujet occupent des degrés très différents. Par Allah ! Il appartiendra vite au passé cet instant présent où tu peux faire des provisions pour l’au-delà dont la demeure est soit le Paradis soit l’Enfer. Si tu utilises cet instant présent comme un chemin menant vers ton Seigneur, tu atteindras alors le bonheur ultime et le succès éclatant durant cette courte période qu’est la vie, dont la durée est insignifiante par rapport à l’éternité. Si en revanche tu préfères les désirs, le repos, les loisirs et les jeux, tes jours passeront comme un éclair, et laisseront place à une immense et éternelle douleur. La subir et la supporter est bien plus difficile et bien plus long que le fait de patienter face aux interdit d’Allah, face à Ses ordre et face à la résistance que l’on oppose à nos passions par amour pour Allah -soubhanahou wa ta'ala-.
Texte: Les Méditations
Auteur: Ibn Al Qayyim
Pages: 183-184
Edition: Tawbah
Retranscritpion: Ibn Djelaz
Site : www.rappel01.fr
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Le savant Abu 'Abdallah Mohammed ibn Idris Ach-Chafi'î
Les musulmans "non-pratiquants"
Site : www.rappel01.fr
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Il est rapporté que le meilleur des adorateurs après les compagnons – Ouwayss Al Qarni - a dit :
« Le fait d’ordonner le bien et d’interdire le blâmable ne laisse au croyant aucun ami : on leur ordonne le bien et ils nous insultent, ils trouvent de l’aide parmi les débauchés. Et par Allah! Jusqu’à ce qu’ils arrivent à m’accuser de choses très graves! Par Allah! Je n’arrêterais pas de leur tenir tête, pour leur montrer la vérité d’Allah! »
[Al i'tisam de l'imam ach-Chatibi (p.20 dar al-Akida)]- ص20 دار العقيدة]
http://citationssalafssalih.com
Celui qui applique les Sunan (traditions) mentionnées dans cette étude en sera rétribué alors que celui qui les délaisse n’en sera pas puni. Elles se répètent nuit et jour et nous pouvons facilement les suivre. J’ai trouvé que chacun d’entre nous peut facilement accomplir pas moins que mille Sunna par jour dans tous les moments de sa vie. Cette étude montre la façon la plus facile de les accomplir. Combien de bonnes actions seront mises au compte de celui qui observe les Sunan, alors que celui qui ne les observe pas en sera privé.
L’observation des Sunan a pour fruit :
1- Parvenir à ressentir l’amour d’Allah pour Son serviteur croyant.
2- Compenser les devoirs obligatoires imparfaits.
3- Se protéger contre les mauvaises innovations.
4- Les Sunan prouvent une sorte de vénération pour les recommandations divines.
Ô musulmans, ravivez les traditions de votre Messager d’Allah (sur lui la paix), qui le fera si ce n’est vous?
C’est une preuve d’amour pour le Messager d’Allah (sur lui la paix) et une preuve de notre sincérité envers lui.
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Le récit de l'idole de 'Amroû Ibn El-Djoumoûh
Ibn Ishâq a dit: "Lorqsue les Ansârs qui avaient fait le serment d'allégeance au Prophète (Sallalahou alayhi wa
salam), la nuit de la deuxième 'Aqaba, revinrent à Médine, ils proclamèrent leur foi. Il resta, cependant, parmi leurs compatriotes, des vieillards qui professaient encore le polythéisme. Parmi
ces vieillards, il y avait 'Amroû Ibn El-Djoumoûh Ibn Zayd Ibn Ka'b Ibn Salama. Son Fils Mou'adh Ibn 'Amroû était de ceux qui étaient présents à El-'Aqaba. 'Amroû Ibn El-Djoumoûh était un des
maîtres des Banou Salama et un de leurs nobles. Il avait placé une idole en bois, dans sa maison, appelée Manat, comme le faisient les nobles parmi eux. Il l'adorait et le vénérait.
Lorsque des jeunes parmi les Banou Salama, embrassèrent l'Islam, entre autres son fils Mou'adh et Mou'adh Ibn
Djebel; ils s'entendirent pour pénétrer, de nuit, dans la chambre où se trouvait l'idole de 'Amroû Ibn El-Djoumoûh. Ils prirent cette idole et la jetèrent dans une fosse des Banou Salama où ils
mettaient les détritus. Ils la jetèrent la tête en avant. Le lendemain, lorsque 'Amroû vit cette scène, il s'exclama: "Malheur à vous, qui a commis, cette nuit, une agression contre notre dieu?".
Il la prit ensuite, la lava, la purifia et la parfuma, puis ajouta à l'adresse de son idole: "Par Allah, si je connaissais celui qui t'a fait cela, je l'humilierais!". La nuit suivante, les deux
jeunes gens firent la même chose. Le lendemain, 'Amroû partit à la recherche de son idole et la trouva dans la même posture et le même lieu que la veille. Il la retira de la fosse, la lava, la
purifia et la parfuma. Mais la nuit suivante, les deux jeunes gens revinrent à la charge et jetèrent encore l'idole dans la fosse aux détritus.
Lorsque la situation se réitéra plusieurs fois encore, 'Amroû retira son idole de la fosse, la lava, la purifia
et la parfuma, puis il prit son épée, la suspendit sur elle, puis s'adressa à elle en lui disant: "Par Allah, je ne sais pas qui agit ainsi avec toi. Mais s'il y a un bien en toi, défends-toi
avec cette épée que je te laisse!".
Mais lorsqu'il alla se coucher, les deux jeunes gens revienrent dans la chambre où se trouvait l'idole. Ils
enlevèrent l'épée suspendue à son cou, puis prirent un chien mort, l'attachèrent à l'idole avec une corde, et les jetèrent ensemble dans une fosse des Banou Salama où se trouvaient les détritus.
Le lendemain matin, ne trouvant pas son idole, 'Amroû Ibn El-Djoumoûh alla à sa recherche et la trouva dans la fosse attachée au cadavre d'un chien.
Certains des hommes qui avaient embrassé l'Islam le virent alors et lui parlèrent de l'Islam. Sa raison
s'illumina et Allah le guida vers l'Islam. Par la suite, et après qu'il eut compris sans quel égarement il se trouvait, avant de connaître la lumière de l'Islam, il composa des vers de poésie
pour remercier Allah de l'avoir sauvé de l'égarement, en disant à l'adresse de son ancienne idole: "Si tu étais un dieu, tu ne serais pas attaché au cadavre d'un chien, au milieu d'un
fosse".
Titre: As-Sîra - La biographie du Prophète Mohammad (Sallalahou alayhi wa salam) Les débuts de
l'islam
Auteur: Ismaïl Ibn Kathîr
Pages 431 -432
Edition: Universel
Kounya: Oum Chaïma
SHeikh Sâlih al-Fawzân (qu’Allâh le préserve)
vendredi 23 mars 2012,
par Ismail
BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm
L’éminent savant, SHeikh Sâlih al-Fawzân (qu’Allâh le préserve), a dit que tuer des non-musulmans pour venger des attaques perpétrées contre un certain nombre de musulmans, ne relève point du Djihâd sur le chemin d’Allâh, et n’est pas conforme aux enseignements authentiques de l’Islâm. Car cette religion rejette avec force ce genre d’actes Criminels.
De plus, cela ne peut qu’être nuisible à l’action de l’appel islamique. Les actes criminels commis contre les innocents, les explosions et tous les actes destructeurs sont formellement interdits en Islâm. De plus, ils engendrent des conséquences nuisibles aux intérêts des musulmans. Est-ce que le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa salam) et ses compagnons à la Mecque tuaient les non-musulmans?
Jamais!
Au contraire, ils s’abstenaient de faire ces choses.
Est-ce qu’ils se sont permis de s’approprier les biens des non-musulmans lorsqu’ils étaient à la Mecque?
Jamais!
Ils s’abstenaient de faire ces choses. Il leur a été ordonné uniquement d’appeler à l’Islâm et de transmettre le message seulement[1]
Note: [1] Fatâwa ’Oulémâ al-Balad al-Harâm, p.104 Source : http://www.manhajulhaqq.com
Question :
Si Allah accorde à quelqu’un d’étudier les sciences religieuses et qu’ensuite il revient dans son pays, comment doit-il commencer sa da’wah ?
Réponse :
Le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a dit à Abû Mûsâ Al-Ash’ârî et Mu’âdh ibn Jabal :
« Annoncez la bonne nouvelle et ne faites pas fuir, facilitez et ne rendez pas difficile, unissez-vous et ne divergez pas »,
il dit aussi :
« Vous n’avez été envoyé que pour faciliter, pas pour rendre difficile »
(Al-Bukhârî et Muslim)
Et le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a dit :
« Cette religion est facile »
Je veux de toi que tu sois intelligent, s’ils te disent : les wahabites ne font pas de rappel d’Allah et empêchent les gens de le faire, et ils le diront si tu dis aux soufis : n’aboyez pas comme des chiens ou ne brayez pas comme des ânes (car ils ont des formules de dhikr innovée remplies de polythéisme et d’innovations), je veux que tu fasses un sermon sur les vertus du rappel légal.
Ils disent aussi : les wahabites ne prient pas sur le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam), alors je veux de toi que tu fasses un sermon sur les vertus de la prière sur le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam).
Ils disent : les wahabites n’aiment pas la famille du Prophète (salallahu’ alayhi wasalam), alors je veux de toi que tu fasses un sermon sur les vertus de la famille du Prophète (salallahu’ alayhi wasalam).
Ils disent que les wahabites travaillent pour le gouvernement, je veux alors que tu montres clairement ta da’wah, que tu n’appelles que vers le Livre d’Allah et la sunna de Son Prophète (salallahu’ alayhi wasalam).
C’est de cette manière que tu vas améliorer la situation, afin qu’on ne t’attribue pas des choses dont tu es innocent.
Si tu fais cela, tu les frapperas avec un fouet.
Un jour le frère Muhammad Jumaydah a rencontré le responsable de la police à Sa’dah et celui-ci lui a dit :
« Je vais provoquer des heurts entre Muqbil et les habitants de Sa’dah, car ce sont des chiites ».
Le frère Muhammad lui a répondu : « Tu ne le pourras pas ».
Regardez (le comportement de ce policier), au contraire le responsable doit être comme un père : miséricordieux, soucieux du bien être des gens, alors que ce traître veut monter les gens les uns contre les autres.
Si tu as des enfants et que l’un d’entre eux fait des erreurs, vas-tu dire : je vais les monter les uns contre les autres afin d’avoir la paix ?!
La louange est à Allah, nous avons beaucoup de sermons sur les vertus de la famille du Prophète ( salallahu’ alayhi wasalam).
Ne sois pas l’instrument d’untel ou d’untel et si tu vois qu’ils veulent t’utiliser contre les frères musulmans alors prend un peu de recul et garde le silence, tu resteras dans le bien, si tu te tais et ne t’occupes que de la science bénéfique tu seras dans le bien, et si tu avertis contre le faux et ses gens, tu seras dans le bien.
Commence par enseigner le Coran et quelques courts hadiths aux enfants, comme :
« Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et l’enseigne »
ou
« Celui qui rompt son serment n’est pas des nôtres »
ou
« Celui qui croit en Allah et au Jour Dernier qu’il dise du bien ou qu’il se taise »
ou
« Jibrîl n’a cessé de me rappeler le bon comportement avec le voisin, au point que j’ai cru qu’il allait avoir une part d’héritage »
ou
« Le fort n’est pas le plus fort dans le combat, mais le fort est celui qui domine sa colère ».
Il faut leur apprendre ces hadiths qui restent gravés dans la mémoire, ou d’autres hadiths comme ce qu’a dit le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) à ‘Alî ibn Aî tâlib :
« Ne laisse pas une tombe surélevée sans la niveler et ne laisse pas une image sans la déchirer ».
Tu ne sais pas, avec l’aide d’Allah il se peut que tu éduques un groupe qui te suivra doucement, et je te conseille d’aller doucement.
Si tu vois que tes ennemis se mettent en colère, alors attends un peu, car leur colère est comme l’eau qui déborde, mais toi ta da’wah continuera.
Après quelques temps passés parmi eux, sans que nous le sachions, notre compagnon a rasé sa barbe, il fume et s’est décomposé : « Qu’est-ce que tu as ? »
il dit : « par Allah, ils ne m’ont pas répondu, j’ai parlé avec eux, ils m’ont suivi mais n’ont pas accepté ».
Il t’es obligatoire de patienter :
« Ô vous les croyants ! Patientez et enjoignez-vous la patience, luttez constamment et craignez Allah afin que vous réussissiez ».
Ainsi, il se peut que tu arrives dans un assise et qu’on te dise : « Bienvenue, quel est ton avis sur Mu’awiyah ? »
Ce qu’ils veulent c’est te faire perdre ton temps, et ils ont des sujets bien plus grave encore que de critiquer Mu’awiyah : se frotter de la terre des morts, insulter le compagnons…
Ou alors ils te demandent : quel est ton avis sur le qat (drogue très répandue au Yémen) ?
Afin de te faire perdre ton temps à savoir si cela est licite ou illicite.
Toi, si tu parles, tu dois le faire dans les sujets qui sont profitables, clairs comme le fait de se frotter sur la terre des morts ou de les invoquer, l’alliance avec les musulmans et le désaveu des mécréants.
Je te conseille d’aller doucement, le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam) est resté 13 ans à la Mecque et deux ans à Médine avant qu’on le lui permette de jihad
« On a permis à ceux qui sont attaqués de se défendre, car ils ont subit une injustice et Allah est certes capable de les secourir ».
Ne dis donc pas : si je patiente sur ce point cela sera une défaite pour la da’wah.
Non, je veux que tu attendes et attendes, n’engage pas la da’wah dans le combat, ne suis pas tes passions car ce sont peut être elles qui veulent gagner.
Ghâratul-Ashritah 2/378
copié de salafs.com
Cheikh Abou ‘Abdir-Rahman Mouqbil ibn Hâdi al Wâdi’i
Dire "Al-Basmala" (بسم الله الرحمن الرحيم - Au nom d'Allah) lors du
démarrage de récitation du coran à partir du milieu d'une sourate
Question 3 :
Celui qui commence la lecture au milieu d'une sourate doit-il prononcer Bismillah ou bien prononcer
'A`oudho-Billahî Mîna Ach-Chaytân-ir-Radjîm (je cherche refuge auprès d'Allah contre Satan le lapidé) uniquement ?
Réponse 3 :
Celui qui entame la lecture au milieu d'une sourate prononce :
d'abord Al 'Isti`âdha (rechercher refuge auprès d'Allah contre Satan),
puis entame la lecture sans dire Bismillah, selon cette parole d'Allah (Exalté
Soit-Il) :
"Lorsque tu lis le Coran, demande la protection d’Allah contre le Diable banni."
Quant à celui qui entame la lecture au début d'une sourate :
celui-ci prononce d'abord Al 'Isti`âdha,
puis Al Basmala (dire: "Bismillah Ar-Rahman Ar-Rahîm" [Au nom d'Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux]") , à l'exception de sourate At-Tawba pour laquelle il n'est pas légiféré de
prononcer Al Basmala.
Qu'Allah vous accorde la réussite et que les prières et le salut soient sur notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.
(Numéro de la partie: 3, Numéro de la page: 94)
Troisième question de la Fatwa ( 16499 )
Le Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas (Al-Iftâ')
copié de alifta.net
Comité permanent [des savants] de l'Ifta
http://alhouda.forumactif.com