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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 16:34


826692933-copie-1.jpgQuestions :

Je suis de nationalité yéménite et me suis installé au Royaume de l'Arabie Saoudite il y a plus de dix ans. Je suis orphelin des deux parents et j'aime la lecture du Saint Coran et je le récite souvent dans la mosquée. Mais, il y a certains versets que je ne prononce pas correctement. C'est parce que je ne suis jamais allé à l'école. Est-ce que je commets de péchés en lisant incorrectement certains versets coraniques ou non? Veuillez m'éclaircir sur ce sujet.


Réponse :

Vous devez d'abord corriger votre lecture du Coran en l'apprenant sous la direction d'un enseignant connu par sa bonne récitation. Puis, répétez ce que vous venez de maîtriser dans la mosquée ou n'importe où; et tant que vous déployez d'efforts dans cette fin, Allah vous facilitera cette tâche. Selon ce hadith authentique, l'Envoyé d'Allah (que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui) a dit: "Celui qui récite le Coran habilement sera avec les (anges) ambassadeurs nobles et pieux. Quant à celui qui récite le Coran en bégayant et qui trouve pénible sa lecture, aura une double récompense" .

Numéro de Fatwa : 121

Date : Mardi 8 Rajab 1422 Hâ' Le 25 Septembre 2001 Mîm

Source de Fatwa : Fatawa du Comité Permanente des recherches scientifiques, de l'Ifta en la Royaume de l'Arabie Saoudite

Référence de Fatwa : Fatawâ du comité permanente des recherches scientifiques et de la délivrance des fatwas, 1re question de fatwâ No. 5948.

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 15:39

mesjid1

 

Abu Hurayra –radiAllahou ‘anh- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« La prière d’un homme en commun est multipliée par rapport à sa prière à la maison et dans son échoppe de vingt-cinq degrés, et ce car s’il fait les ablutions et parfait les ablutions, puis sort vers la mosquée en ne désirant que la prière, il ne fait de pas sans qu’il ne soit élevé d’un degré et que ne lui soit ôté un péché.

Et quand il prie, les Anges ne cessent d’invoquer en sa faveur tant qu’il se trouve dans le lieu de prière : « Ô Allah, prie sur lui, ô Allah, accorde-lui la miséricorde ».

Et il ne cesse d’être en prière tant qu’il attend la prière ».

 

Et dans une version :

 

« Ô Allah, pardonne-lui, ô Allah, accorde-lui le repentir, tant qu’il ne perd pas ses ablutions ». 

(Rapporté par al-Bukhari (477), Muslim (649))

 

  ‘Uqba b. ‘Amir –radiAllahou ‘anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Quand l’homme se purifie puis va à la mosquée pour accomplir la prière, ses deux scribes ou son scribe lui inscrit pour chaque pas qu’il fait vers la mosquée dix bonnes actions, et celui qui est assis à attendre la prière est comparable à celui qui est debout en prière et sera inscrit parmi les orants, dès qu’il sort de sa demeure jusqu’à ce qu’il y retourne ».  

(Rapporté par Ahmad, Abu Ya’la, at-Tabarani, et d’autres et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (298)

 

  ‘Abd Allah b. ‘Amr -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Celui qui va à la mosquée du groupe, un pas lui efface un péché et un autre pas lui inscrit une bonne action, à l’aller et au retour ». 

(Rapporté par Ahmad avec une chaîne de transmission fiable, al-Tabarani et authentifié par Ibn Hibban, Jugé fiable par shaykh al-Albani dans Sahih al-Taghrib wa l-Tarhib)

 

  Jabir -radiAllahou 'anhou- a dit :

 

« Il y avait un espace vide autour de la mosquée, et les Banu Salama voulaient se rapprocher de la mosquée. Le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- fut informé de cela et leur dit : « Il m’a été rapporté que vous voulez vous rapprocher de la mosquée ».

Ils dirent : « Oui, ô Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam-, c’est ce que nous voulons ».

Il dit alors -sal Allahou 'alayhi wa salam- : « Ô Banu Salama, vos demeures ! Vos pas seront inscrits. Vos demeures ! Vos pas seront inscrits ».

Ils dirent : « Il ne nous aurait pas plu d’avoir déménagé ». 

(Rapporté par Muslim (665))

 

Et dans une version :

« Vous avez pour chaque pas un degré ». 

(Rapporté par Muslim (664)

 

  Abu Musa -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« La personne qui a la plus grande récompense dans la prière est celle qui a la plus grande distance à marcher, puis la plus grande, et celui qui attend la prière pour la prier avec l’imam a une plus grande récompense que celui qui prie puis dort ». 

(Rapporté par al-Bukhari (651), Muslim (662)

 

  Abu Hurayra -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Pour chaque articulation de la personne, il y a une aumône chaque jour où le soleil se lève.

Réconcilier deux personnes est une aumône, aider un homme à monter sur sa monture ou à mettre sur elle ses biens est une aumône, la bonne parole est une aumône, chaque pas fait en direction de la mosquée est une aumône, et ôter la nuisance du chemin est une aumône ». 

(Rapporté par Al-Bukhari (2989), Muslim (1009))

 

  Abu Hurayra -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Ne vous indiquerais-je pas ce par quoi Allah efface les péchés et augmente les degrés ? ».

Ils dirent : « Oui, ô Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- ! ».

Il dit : « Parfaire les ablutions dans la difficulté, multiplier les pas vers la mosquée et attendre la prière après la prière. Ceci est le Ribat*, ceci est le Ribat, ceci est le Ribat » 

(Rapporté par Muslim (251) (*Ribat : Le fait de camper aux frontières pour surveiller toute incursion ennemie.)

 

  Il rapporte également que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Celui qui va à la mosquée ou en revient, Allah lui prépare au Paradis une demeure (Nuzul : ce que l’on prépare pour un inviter afin de l’honorer) chaque fois qu’il part ou revient ». 

(Rapporté par al-Bukhari (662) et Muslim (669)

 

  Burayda -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Annonce à ceux qui marchent dans l’obscurité vers la mosquée une lumière intégrale le jour de la résurrection ». 

 (Rapporté par Abu Dawud et Al-Tirmidhi et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (315)

 

  Abu Hurayra -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Allah -soubhanahou wa ta'ala- illuminera ceux qui se dirigent vers la mosquée dans l’obscurité d’une lumière éclatante le jour de la résurrection ». 

(Rapporté par al-Tabarani avec une chaîne de transmission fiable et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (317))

 

  Abu Umama -radiAllahou 'anhou- rapport que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Celui qui sort de sa demeure s’étant purifié pour accomplir la prière obligatoire, sa récompense est comparable à celle du pèlerin en état de sacralisation, et celui qui sort pour accomplir la prière de la matinée [Al-Doha] et ne sort que pour cette raison, sa récompense est comparable à celle du petit pèlerin [celui qui fait la ‘Umra], et la prière à la suite de l’autre sans qu’il n’y ait fait de futilité entre elles sera inscrit dans le ‘Illiyyûn ». 

(Rapporté par Abu Dawud et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (320)

 

  Il rapporte également que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Il en est trois qui sont tous garantis auprès d’Allah : S’il vit, il reçoit subsistance et protection et s’il meurt, Allah les fait entrer au Paradis : celui qui entre dans sa demeure et qui salue est garanti auprès d’Allah, celui qui sort pour aller à la mosquée est garanti auprès d’Allah et celui qui sort pour la cause d’Allah est garanti auprès d’Allah ». 

(Rapporté par Abu Dawud et Ibn Hibban qui l’a authentifié et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (321)

 

  Salman -radiAllahou 'anhou- rapporte que le Prophète -sal Allahou 'alayhi wa salam- a dit :

 

« Celui qui fait les ablutions dans sa demeure et parfait les ablutions pis va à la mosquée, il rend visite à Allah. Il est donc du devoir de celui qui est visité d’honorer le visiteur ». 

(Rapporté par al-Tabarani avec deux chaînes de transmission dont l’une est bonne et il est mentionné dans Sahih al-Targhib wa l-Tarhib (322)

 


 

Ce que l’on peut tirer de ces hadiths

 

 Marcher en direction de la mosquée augmente les degrés et efface les péchés, à l’aller comme au retour.

 

 Pour chaque pas, on obtient dix bonnes actions.

 

 Le musulmans est inscrit parmi les orants dès lors qu’il sort de sa demeure jusqu’à ce qu’il revienne.

 

 Celui qui obtient la plus grande récompense pour la prière parmi les gens est celui qui a marché la plus grande distance.

 

 Le pas de l’adorateur fait pour accomplir la prière lui est compté comme une aumône.

 

 Multiplier les pas en directions de la mosquée fait partie du Ribat.

 

 Allah –ta’ala- prépare au Paradis une demeure (Nuzul) à Son adorateur chaque fois qu’il va ou revient de la mosquée.

 

 Allah -soubhanahou wa ta'ala- parfait le jour de la résurrection la lumière de ceux qui marchaient dans l’obscurité vers la mosquée.

 

 La récompense de celui qui sort de sa demeure en étant purifié pour accomplir la prière obligatoire est comparable à la récompense du pèlerin.

 

 Celui qui sort vers la mosquée est garanti auprès d’Allah d’obtenir la subsistance et d’être protégé.

 

 Celui qui marche en direction de la prière [mosquée] en ayant parfait les ablutions rend visite à Allah, et qu’Allah honore Ses adorateurs qui lui rendent visite, cet honneur consiste en une augmentation de la foi, une récompense, une élévation des degrés, une dissipation des peines et un bonheur dans le cœur.

 

[Source : « La prière, son influence sur l’intensification de la foi et l’éducation spirituelle », Cheikh Husayn Al-‘Awaysha, Editions Al-Hadith, pp. 132-141]

copié de rappel01.fr

Cheikh Hussain Al-‘Awaisha

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 15:27
L’histoire du « djinn » qui se fit passer pour Ibn Taymiyyah !
Ainsi que la ruse des djinns dans les faux prodiges auprès des gens

 

SHeikh al-Islâm Taqî ad-Dîn Abî al-’Abbâs Ahmad Ibn ’Abdel-Halîm Ibn ’Abdel-Sallâm Ibn Taymiyyah al-Harânî


dimanche 21 novembre 2004, par Ismaïl


BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm


Il est possible qu’un djinn rencontre en une terre désertique une personne qui peut être un émir, un roi ou un mécréant assoiffé et que la mort menace [dû à cette soif]. Il [le djinn] se montre à lui sous une forme humaine, l’appelle à l’Islâm et le fait se repentir, il le salue en lui serrant la main, lui donne à manger et lui indique son chemin. L’homme lui demande : « Qui es-tu ? » et il lui répond : « Je suis untel », comme cela m’est arrivée une fois.


Alors que je me trouvais en Egypte dans une forteresse, une personne vint dire auprès de beaucoup de Turcs et notamment à un de leur émir : « je suis Ibn Taymiyyah », et l’émir ne douta aucunement qu’il était moi. Faisant part de cela au roi [Malik] de Mâradîn, celui-ci envoya quelqu’un en Égypte alors que je me trouvais auprès d’un puits, duquel je n’étais pas sortit. Aussi, le djinn traitait les Turcs comme je le faisais moi-même lorsqu’ils venaient à Damas, en les appelant à l’Islâm, et après qu’ils aient attesté l’attestation de foi je leur donnais à manger de ce que j’avais. Il faisait donc cela comme je le faisais, par respect pour moi. Un groupe de personne parmi les gens me dirent : « Il se peut qu’il soit un ange ? » Je leur répondis : « Non, car l’ange ne ment pas et celui-ci a prétendu être Ibn Taymiyyah, et il savait bien qu’il mentait sur cela ! » [1]

[...]


Je connais personnellement des personnes à qui des plantes ont parlé en leur disant des choses utiles, mais ce ne sont rien que des Satans qui sont entrés en elles [les plantes]. Et j’en connais à qui des pierres et des arbres ont dit : « Félicitations à toi Ô Allié d’Allâh ! » Et lorsqu’ils récitent « Âyat ul-Kursî » ils les font fuir. Je connais une personne qui est sortit pour chasser des oiseaux, et l’un d’entre eux lui a dit : « Prends-moi afin de nourrir les pauvres ! » C’était un Satan qui était entré dans cet oiseau comme il entre dans l’être humain et parle. Certains d’entre eux sont dans leur maison verrouillée, et soudainement ils se retrouvent dehors sans que la porte ne se soit ouverte, ou il peut être à l’extérieur et se retrouver à l’intérieur, et cela peut aussi être aux portes d’une cité, et c’est un « djinn » [démon] qui les transporte très rapidement. Quelquefois, le « djinn » leur montre la lumière, ou leur amène celui qu’ils demandent, de même ce sont des « Chayâtînes » qui ont prit la forme de la personne qu’ils désiraient. Et lorsque « Âyat ul-Kursî » est récitée, toutes ces choses disparaissent aussitôt.


Je connais une personne à qui on a dit : « Je viens par ordre d’Allâh. » [Et cette personne] lui promit qu’elle était le « Mahdî » que le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) avait prédit. Il lui fît voir des prodiges de sorte de mettre dans son cœur [des images] d’oiseaux et de sauterelles qui volent à sa droite et sa gauche, et ensuite ils vont là où la personne a pressentit [imaginé]. Il peut lui mettre dans le cœur [des images de] certains animaux qui se lèvent devant lui, ou se couchent, ou se déplacent, et ensuite cela se produit comme il le pensait sans aucun mouvement de sa part. Il peut l’amener à la Mecque et le ramener, ou il peut se présenter avec des personnes de grande beauté et dire que ce sont des anges qui désiraient le visiter. Il va s’interroger : « Comment des anges peuvent-ils venir sous forme de jeunes garçons ? » Et lorsqu’il lève sa tête, il verra qu’ils ont des barbes. Et il [le djinn] lui dira : « Le signe que tu es le Mahdî est une marque qui va apparaître sur ton corps », ensuite [cette marque] apparaît et il la voit. Toutes ces choses font parti de la ruse du « Chaytân » [...] [2]

 

 

[1] Madjmu’ al-Fatâwa de Ibn Taymiyyah, 13/52

[2] Madjmu’ al-Fatâwa de Ibn Taymiyyah, 11/165-166

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 15:11

ktb.jpg
Mu’âdh Ibn Jabal a dit ceci:

" la rechercher est une adoration, l’étudier est une glorification de Dieu, se

déplacer pour l’acquérir est un jihâd, l’enseigner à celui qui ne la possède

pas est une aumône, l’offrir aux siens est une forme de rapprochement

parce que la science est le repère pour distinguer le licite de l’illicite, le

phare pour les voies des gens du Paradis, le confident dans l’isolement, le

compagnon dans l’exil, le partenaire dans la solitude, le guide dans les

moments de joie et de peine, l’arme contre les ennemis, la parure auprès

des amis. "


 

posté par aboureem sur: http://www.fourqane.fr/forum/viewtopic.php?t=13361&highlight=

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21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 21:15
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18 décembre 2010 6 18 /12 /décembre /2010 16:54
hiver.gif Toutes les louanges appartiennent à Allah, Le Tout miséricordieux, Le Bon, qui de part Sa bonté nous a facilité des périodes pour y accomplir des actes de bien, Il nous y a promis d'énormes récompenses. 

Sachez mes frères et mes soeurs que nos pieux prédécesseurs étaient très heureux lorsque l'hiver entrait... 

Savez vous pourquoi ? 

Parce que ils couraient pour tirer profit de cette saison et y gagner l'agréement de leur seigneur ainsi que son paradis. 
 
Comment s'y prenaient ils pour tirer profit de cette saison? Lisez ce qui suit.. 

Hassan Al Basri a dit : 

"Quel bonne saison pour le croyant que l'hiver.
Ses nuits sont longues, il prie [durant celles ci] et ses journées sont courtes, il jeûne [durant celles ci]" 

Quand l'hiver venait, 'Ubeyd ibn 'Umayr disait : 

"Ô gens du Coran, vos nuits se sont allongées pour vos lectures, lisez donc.
Vos journées se sont raccourcies pour votre jeûne, jeûnez donc." 

Que le musulman ne laisse donc pas ces périodes de bien lui passer sous le nez et qu'il invoque constamment son seigneur afin qu'Il aide à tirer profit de ces périodes et qu'elles ne lui passent pas sous le nez.

Surtout en ce moment où nous nous trouvons, les 10 premiers jours bénis de dhoul hijja. 

Yahya ibn Mouhaadh a dit : 

"Les nuits sont longues, ne les raccourcis pas par ton sommeil. L'islam est pur, ne l'entache pas par la souillure de tes pêchés." 

copié de sahab.net
http://convertistoislam.over-blog.com/article-les-compagnons-du-prophete-aimaient-la-saison-d-hiver-53737557.html
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17 décembre 2010 5 17 /12 /décembre /2010 20:49

Plaisirs et désappointements 

Ibn Al-Jawzî

 

 


J’ai constaté que l’âme regardait les plaisirs mondains des riches, mais qu’elle oubliait comment ils ont été obte­nus et quels maux ils impliquaient. Et il en est ainsi : Si tu vois un gouverneur et médites sur son bienfait, tu constateras qu’il est mêlé à l’injustice, et même si lui ne le désire pas, elle surviendra de ceux qui sont à son service. De plus, il vit dans la crainte, il est troublé dans tout ce qu’il fait, craignant qu’un ennemi ne l’empoisonne, inquiet qu’un de ses supérieurs ne le destitue ou que ses semblables rusent contre lui. La majeure partie de son temps est consacrée au service des gouverneurs qu’il craint, au calcul de leurs richesses, à l’exécution de leurs ordres, lesquels ne sont pas exempts de choses réprouvables. Et s’il est destitué, cela dépasse largement l’ensemble des plaisirs assouvis et qui sont submergés par la crainte éprouvée pour eux, par eux et à cause d’eux.


 

Si tu observes le commerçant, tu le vois parcourir les pays, et il ne parvient à ce qu’il possède comme richesses qu’après avoir atteint un âge avancé, alors que le temps des plaisirs est passé. On rapporte qu’un dignitaire était pauvre dans sa jeunesse, mais qu’en prenant de l’âge il s’est enrichi et possédait une grande fortune. Il achetait ses esclaves hommes chez les Turcs et ses esclaves femmes chez les Byzantins, et il composa ces vers pour expliquer sa situation :

 

Je n’espérais pas à vingt ans


Posséder ce que j’eus, passé soixante-dix ans


Des turcs tournent autour de moi comme des gazelles et m’exténuent,


Comme les branches passant sur les dunes


Et des vierges Byzantines superbes


Aussi belles que les houris du Paradis


Me font signes de leurs doigts délicats


Si souples qu’on pourrait en nouer l’extrémité


Elles veulent ranimer un moribond inerte


Mais comment ressusciter un cadavre déjà inhumé


Ils m’ont dit : Tes gémissements nous tiennent éveillés


De quoi te plains-tu donc ? — De mes quatre-vingts ans


 

C’est ce qui se passe généralement, l’homme ne peut réunir tout ce qu’il aime si ce n’est lorsqu’approche la fin de sa vie. Et s’il possède tout cela dans sa jeunesse, celle-ci l’empêche de bien le gérer ou d’en jouir parfaitement. L’homme, dans sa jeunesse, ne sait ce qu’il est que lorsqu’il atteint l’âge adulte, et à ce moment tout ce qui l’importe est de se marier, de toutes les manières. Lorsqu’il se marie, les enfants arrivent et lui interdisent tout plaisir et, le cœur brisé, il doit gagner de quoi les élever. Ensuite, lorsqu’il s’y est habitué, pendant cette courte période proche de la trentaine ses cheveux commencent à grisonner, il se détache de son âme car il sait que les femmes s’éloignent de lui, comme l’a dit Ibn Al-Muctazz Billah :


 

J’ai tourmenté mon âme sur mes vieux jours


Les filles aux reins souples et aux seins ronds m’aimeront-elles un jour ?


 

Il en est ainsi. Celui qui désire jouir de jolies femmes, s’il les trouve, c’est l’argent néces­saire à la satisfaction de son désir qu’il ne trouve pas ! Et s’il cherche à amasser de l’argent, il perd le temps de la jouissance. Et lorsqu’il atteint son but, la vieillesse est le souci le plus infâme et la chose la plus haïssable. Le riche craint également pour son argent, contrôle ses employés et, qu’il le dépense avec prodi­galité ou parcimonie, il sera toujours blâmé ! Son fils guette sa mort, sa servante peut ne pas supporter sa personne, et lui s’affaire à préserver son train de vie. Son temps a passé dans des épreuves entre lesquelles les plaisirs sont allés et venus tellement fugaces qu’il n’y a trouvé aucun plaisir !


 

Puis, au Jour de la Résurrection, le prince et le com­merçant seront rassemblés humiliés, sauf ceux que Allah a protégés. Prends donc bien  garde de ne voir que l’apparence de leurs plaisirs, car tu les trouverais agréables en raison de ton éloignement, mais si tu y parvenais tu le détesterais. Cela comporte également des épreuves indescriptibles dans cette vie et l’au-delà, tu dois donc être satisfait, autant que possible, de ce que tu possèdes, car cela comporte le salut de cette vie et de la religion. On demanda à un ascète qui n’avait qu’un morceau de pain sec : « Comment peux-tu avoir envie de cela ? » Il répondit : « J’attends d’avoir faim. »

 


Source : Les Pensées Précieuses

Traduit et publié par les salafis de l’Est

 

http://www.salafs.com/modules/news/article.php?storyid=10360

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 20:31



bismillah

 

Question :


Parlez nous, si nous sollicitons votre dévouement, sur ce qu'Allah à promis [comme récompense] dans la vie d'ici et dans l'au-delà à ceux qui se montrent patients et ceux qui font le bien par obéissance à 'Allah ?

Réponse :


Allah a créé l’être dans le seul but de l’adorer Lui seul sans rien Lui associer, [ainsi] le Très Haut a ordonné cela en disant : « Je n'ai créé les djinns et les hommes que pour qu'ils M'adorent. » (Sourate Adhariyates –verset 56) et aussi : « O hommes! Adorez votre Seigneur, qui vous a créés vous et ceux qui vous ont précédés. Ainsi atteindriez-vous à la piété. » (Sourate Al Baquara –verset 21). Cette adoration pour laquelle ils [les êtres] ont été créé et qui leur a été ordonnée, n’a pour but que de les pousser à ce qu’ils obéissent aux ordonnances d’Allah, à s’abstenir de commettre ses interdits et de s’appliquer à multiplier de ses supplications [dhikr]?

Le fondement de cette adoration réside dans l’Unicité d’Allah [Tawhid] soubhanahou, en l’invoquant, en le craignant, en le suppliant et cela en toute sincérité lors de l’accomplissement de chaque adoration telle que la prière et le jeûne et les autres adorations.

Allah ne leur a-t-il pas promis beaucoup de bien et l’heureuse fin ici bas et dans l’au-delà ?

Il leur a promis [comme récompense] le Paradis dans l’au-delà et le [grand] prestige en disant : «... Sois patient. La fin heureuse sera aux pieux. » (Sourate Hoûd –verset 49) et aussi : «Très certainement, Nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants, * qui disent, quand un malheur les atteint: "Certes nous sommes à Allah, et c'est à Lui que nous retournerons. » (Sourate Al Baqara –verset 155/156) et Allah le Très Haut à dit également : «...les endurants auront leur pleine récompense sans compter. » (Sourate Az-Zoumar –verset 10) et enfin, Allah ‘aza oua djal dit : «Quiconque, mâle ou femelle, fait une bonne œuvre tout en étant croyant, Nous lui ferons vivre une bonne vie. Et Nous les récompenserons certes, en fonction des meilleures de leurs actions.» (Sourate An-Nahl –verset 97).

Le prophète (صلى الله عليه و سلم) a dit : « aucun homme n'a reçu de meilleur et de plus large don que la patience » [Rapporté par Al Boukhari] et il (صلى الله عليه و سلم) a dit aussi : « Que le sort du musulman est étonnant ! Son sort est toujours bien. S'il vit la facilité et il remercie, il sera récompensé. S'il vit la difficulté avec patience et persévérance, il le sera également » [Rapporté par Al Boukhari].

Donc, celui qui est patient, lui sera destinée la fin heureuse ici bas et dans l’au-delà ou alors il aura le Paradis [en récompense] dans l’au-delà et le [grand] prestige, ceci [évidemment] s’il se montre patient et obéissant dans la crainte d’Allah soubhanahou tout en montrant de l’endurance face aux épreuves qui vont lui être enjointes telle que l’incommodité de la vie, la pauvreté, la maladie et ce qui peut abonder en ce sens…Allah soubhanahou dit [à juste titre] :«La bonté pieuse ne consiste pas à tourner vos visages vers le Levant ou le Couchant. Mais la bonté pieuse est de croire en Allah, au Jour dernier, aux Anges, au Livre et aux prophètes,… » Ensuite de dire soubhanahou :«...ceux qui sont endurants dans la misère, la maladie et quand les combats font rage, les voilà les véridiques et les voilà les vrais pieux !» (Sourate Al Baqara –verset 177).

La patience et la piété ne peuvent qu’engendrer une heureuse [récompense] quelque soit la situation, Allah le Très Haut dit au sujet des croyants et leurs ennemis : «…Mais si vous êtes endurants et pieux, leur manigance ne vous causera aucun mal. Allah connaît parfaitement tout ce qu'ils font.» (Sourate Ali ‘Imran –verset 120).

Majmou’ Fatawa et Maqalat moutanawi'a (Tome 6 et 7) – Sheikh Ibn ‘Abd Al ‘Aziz Ibn Baz (rahimahou Alllah) .
Traduction rapprochée : Ibn Hamza

 

http://alminhadj.fr/modules/news/article.php?storyid=189

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 20:22

bismill2


Ceci est la traduction de la fatwâ du Corps des Grands Savants concernant le fait de représenter les Compagnons _ qu'Allâh les agrée.


Question: Le statut de la représentation des Compagnons.

Réponse:Le Corps des Grands Savants du Royaume d’Arabie Saoudite a décidé d’interdire de représenter les Compagnons – qu’Allâh les agrée – et a fortiori le Messager , par la décision n°13 datée du 16/4/1393hég., dont le texte est le suivant :

« La pleine Louange est à Allâh, Seigneur des mondes ; et que la prière et le salut soient sur le plus noble des Envoyés, sur l’ensemble de sa famille et de ses Compagnons, sur les Tâbi‘în, ainsi que sur ceux qui les suivront jusqu’au Jour de la Résurrection.

Quant au sujet : Le Corps des Grands Savants, lors de sa troisième session tenue entre le 1/4/1393 et le 17/4/1393, a pris connaissance du discours de la haute Assemblée n° 44/93 adressé au Directeur général de l’administration des recherches scientifiques, de l’Iftâ’, de la prêche et de l’orientation, dont la teneur du texte suit :

Nous vous envoyons la lettre qui nous a été adressée par Talâl Ibn ach-Cheykh Mahmoûd Al Bannî Al Makkî, directeur général de la société Luna films à Beyroûth, portant sur le projet de la société de faire un film représentant la vie de Bilâl, le mou’adhdhin du Messager d’Allâh . Nous souhaiterions qu’après avoir pris connaissance de [cette lettre], vous la présentiez aux Grands Savants pour qu’ils émettent leur avis sur le sujet et que vous nous en présentiez le résultat.


Après avoir pris connaissance du discours de la Haute Assemblée, ainsi que de ce qu’avait préparé la Commission permanente pour les recherches scientifiques et l’Iftâ’ sur ce sujet, et après que ses membres se furent concertés, le Corps des Grands Savants a décidé ce qui suit à l’unanimité:

1– Allâh, Soubhânahou wa Ta‘âlâ, a adressé des compliments aux Compagnons, Il a exposé leur position élevée, leur rang éminent. Et dans la réalisation [d’une œuvre] sur l’un quelconque d’entre eux sous la forme d’une pièce de théâtre ou d’un film, il y a incompatibilité avec les compliments qui leur ont été adressés par Allâh et une dégradation du rang élevé qu’Il leur a attribué et avec lequel Il les a honoré.

2– La représentation de l’un quelconque d’entre eux serait l’objet de moqueries et sarcasmes. La plupart du temps, pour les personnes qui s’en chargent, il n’y a de place ni pour la bonté ni pour la crainte (taqwâ), dans leur vie en général comme dans les mœurs de l’islâm. En plus du but visé par les responsables de ces représentations, qui vont en faire un moyen pour obtenir un gain matériel. Quelque précaution qu’on prenne, cela contiendra du mensonge et de la médisance. De plus, représenter les Compagnons – qu’Allâh les agrée – les mettrait dans une position vexante aux yeux des gens : la confiance à l’égard des Compagnons du Messager d’Allâh s’ébranlerait ; cela occulterait la crainte respectueuse qu’éprouvaient [jusqu’alors] les musulmans spectateurs ; cela ouvrirait la porte au doute dans la religion des musulmans ; [cela entraînerait] la dispute et les débats concernant les Compagnons de Mouhammed . Et cela inclurait la nécessité pour les acteurs de tenir le rôle d’Aboû Jahl et de ses semblables, portant sur sa langue les insultes adressées à Bilâl, au Messager et à ce avec quoi est venu l’islâm. Sans aucun doute, ceci est dégoûtant. Et cela aurait pour but de semer la confusion dans l’esprit des musulmans, comme dans leur ‘aqîdah, dans le Livre de leur Seigneur et dans la Sounnah de leur prophète Mouhammed .

3– Ce que l’on dit concernant l’existence d’un profit qui serait : la divulgation des bonnes mœurs et de l’éthique ; [l’incitation] à rechercher la vérité ; préciser la Sîrah, sans rien transgresser de tout cela sur aucun aspect ; en souhaitant profiter d’une morale et en tirer des leçons … Tout ceci n’est qu’hypothèses et supputations. Celui qui connaît les acteurs et les buts qu’ils s’assignent, sait bien que ce genre d’interprétation [les profits à tirer qui viennent d’être évoqués], est rejeté par la réalité [que vivent] les acteurs, par leurs chefs de file et par les préoccupations qu’ils ont faites leurs dans leurs vies et leurs actes.

4– Parmi les règles édictées par la Législation : « Ce qui constitue une source de corruption de façon certaine ou probable, est interdit ». Et représenter les Compagnons, en supposant qu’il existe un intérêt à le faire, [est un acte où] prévaut la corruption. Aussi, pour préserver les intérêts, fermer la voie à ce qui pourrait y amener et protéger la dignité des Compagnons de Mouhammed , il est impératif d’interdire cela.


Le regard du Corps a été attiré par ce qu’a dit Talâl, concernant le fait que Mouhammed et ses Califes Bien-dirigés [occupent un rang] trop élevé pour que leurs images ou leurs voix apparaissent dans ce film. Son attention a également été attirée par l’audace des responsables de ces représentations (ou propriétaires de théâtres) de représenter Bilâl et d’autres parmi les Compagnons, car ceci ne [peut] se faire qu’en raison de la faiblesse de leur rang et de la dépréciation de leur mérite en regard des quatre Califes. Ils n’ont pas, selon eux, l’immunité ni la considération qui interdisent de les représenter et de les exposer aux moqueries et sarcasmes. Ceci n’est pas correct, car chaque Compagnon possède un mérite qui lui est propre ; et ils sont tous associés dans le mérite d’être des Compagnons, bien qu’ils occupent des rangs différents auprès d’Allâh Jalla wa ‘Alâ. Cette valeur dans laquelle ils sont associés – le mérite d’être un Compagnon – interdit qu’on les traite avec mépris. Et qu’Allâh accorde Sa prière et Son salut à notre Prophète Mouhammed, à sa famille et à ses Compagnons. »

Source:
Sahab

 

http://alminhadj.fr/modules/news/article.php?storyid=284

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 20:14


 

Si tu te trouves paresseux dans ton obéissance à Allâh, alors aie peur qu’Allâh ne soit réfractaire à ton obéissance.


Par Shaykh ibn al-`Uthaymin

Shaykh Muhammad ibn Salih ibn al-`Uthaymîn, qu’Allâh lui fasse miséricorde, a dit dans son explication du livre La 'Aquîdah de Ahl us-Sunnah wal Jamâ`ah, عقيدة أهل السنة والجماعة


وَلَكِنْ كَرِهَ اللَّهُ انْبِعَاثَهُمْ فَثَبَّطَهُمْ وَقِيلَ اقْعُدُوا مَعَ الْقَاعِدِينَ

« Wa lakin kariha Allâhu anbicathahoum fathabbatahoum wa quila aqcoudou maca el qa'ideen ».

« Mais leur départ répugna à Allâh. Il les a rendu paresseux et il leur fut dit : « Restez avec ceux qui restent (à la maison) » (sourate 9, verset 46).

Oh Allâh sauve-nous !

Ce verset est très dangereux et une référence « mais leur départ répugna à Allâh », c'est-à-dire le départ pour la bataille.

{Et il leur fut dit restez avec ceux qui restent (à la maison)}

Fais donc attention et juge toi toi-même et, si tu te sens paresseux dans l’accomplissement de bonnes oeuvres, alors crains qu’Allâh ne répugne à te voir faire de bonnes actions.

Puis, réexamine-toi une seconde fois et sois patient, et impose-toi l’obéissance. Aujourd’hui tu feras des actes d’obéissance à contrecœur mais demain tu les feras de toi-même et sans effort.

Le point important est que c’est un avertissement sévère pour celui qui se trouve gêné lorsqu’il fait de bonnes actions, et alors peut-être qu’Allâh l’Exalté est réfractaire à ce qu’il fasse partie de Ses esclaves obéissants, c’est pourquoi Il l’arrête dans son obéissance.

Nous demandons assistance à Allâh pour nous rappeler de Lui, pour Le remercier et pour nos bons actes d’adoration.

L'exemple qui illustre la règle:
« Mais leur départ répugna à Allâh. Il les a rendu paresseux et il leur fut dit : « Restez avec ceux qui restent (à la maison)».

Il ne fut pas dit « Qala lahoum » (« il [leur] dit : « restez avec ceux qui restent » »). Car Allâh n’ordonne pas la turpitude, mais il fut dit « wa quila » (il leur fut dit).

Qui dit restez à la maison ? C’est l’âme »
[Quelqu’un dans l’assistance semble répondre que c’est Allâh mais le cheikh le reprend] « non ce n’était pas Allâh qui l’avait dit, mais c’est plutôt l’âme.

L’âme de l’homme lui parle et dit : « reste à la maison, n’y va pas cette fois, vas-y une autre fois ».

Et Satan fais obstacle à l'accomplissement des bonnes choses.

Et les mauvaises fréquentations font obstacle à l'accomplissement des bonnes choses.

Donc c'est pour cette raison que le sujet de cette action a été supprimé de cette phrase, c'est-à-dire celui qui intimait l'ordre de rester, et ceci pour que cela soit plus global.

Ainsi, ceux qui disent « restez avec ceux qui restent » sont nombreux et on a mentionné trois d’entre eux : l’âme, Satan et les mauvaises fréquentations.


Explication du livre La 'Aquîdah de Ahl us-Sunnah wal Jamâ`ah, cassette n°7, face 2 de la cassette, de 3'16 à 5'22.

Source :

salafitalk

 

http://alminhadj.fr/modules/news/article.php?storyid=286

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  • : Al-Awzâ’î a dit : « Patiente sur la Sunna, arrête-toi là où les gens se sont arrêtés, dis ce qu’ils ont dit, abstiens-toi de ce dont ils se sont abstenus, et suis la voie de tes pieux prédécesseurs, car ce qui leur a suffit te suffira. » [Al-Lâlakâ’î dans Sharh Usûl Al-Ictiqâd (315)] (( Si vous remarquez des erreurs, veuillez m'en avertir barakallahou fikom ))
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