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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 14:21

 




 
Ibnul-Qayyim (d.751H) a dit:


“Ta vie au moment présent est entre le passé et le futur. Ainsi ce qui a précédé peut être rectifié par la tawba (repentir), an-nadam (le regret) et al-istighfar (la recherche du pardon d’Allah). Et c'est quelque chose qui ne te fatiguera pas, ni ne te fera peiner comme un dur travail le ferait. Plutôt, c'est une action du cœur.
 
Puis en ce qui concerne le futur, alors il peut être rectifié par le fait de t’abstenir des péchés. Et cet abandon n'est que le simple abandon d'une chose et d'en être satisfait. Ce n'est pas une action des membres qui requiert que tu combattes et que tu peines. Plutôt c'est une ferme résolution et une intention du cœur - qui donnera le repos à ton corps, ton cœur et tes pensées.
 
Donc quant à ce qui précède, alors certes tu le rectifies par le repentir. Et quant au futur, alors tu le rectifies par la ferme résolution et l'intention. Ni l'une ni l'autre de ces choses n'implique l'action, ni l'effort des membres. Mais alors, ton attention doit être dirigée vers ta vie dans le présent (ce temps entre les deux temps).

Si tu le gâches, alors tu as gâché l'opportunité d'être parmi les fortunés et ceux qui seront sauvés. Si tu y portes attention, en ayant rectifié les deux temps - ce qui était avant cela et ce qui sera après, comme nous l'avons dit - alors tu seras gagnant et tu atteindras le repos, les délices, et la félicité éternels.
 
Cependant, y porter attention est plus difficile que ce qui vient avant ou après, car le protéger implique de se concentrer sur ce qui est meilleur et plus bénéfique pour ton âme, et ce qui lui apportera le succès et le bien-être."

Al-Fawa‘id (p. 151-152)
http://al-mumtahanah.over-blog.com/10-categorie-1024209.html
 
http://3ilm.char3i.over-blog.com/825-index.html

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 14:18

  

 

 

 

Q : Le croyant peut-il avoir des troubles ou maladies psychologiques ? Comment doit-on le traiter selon la religion, sachant que la médecine contemporaine  traite ces troubles uniquement avec les médicaments modernes ?

R : Nul doute que l’être humain peut être la cible de troubles et de maladies psychologiques résultant de l’angoisse de l’avenir, ou des regrets et des remords du passé. Les troubles psychologiques ont une influence plus importante sur le corps que les maladies physiques et le traitement de ces troubles se fait par des moyens autorisés : la Ruqiya[1] est plus efficace que le traitement par les médicaments chimiques.  

 

Un des traitements de ces troubles ou maladies a été rapporté dans le hadith authentique, selon Ibn Masscûd, qu’Allah l’agrée : « Tout croyant atteint de tristesse, de déprime ou de chagrin qui dit cette formule, Allah le soulagera :  

 

« Ô Allah, je suis Ton serviteur, fils de Ton serviteur, fils d’une esclave à Toi. Certes, je Te suis soumis, Ta décision est prise et Ton jugement est juste, je Te demande par chacun des Noms que Tu T’es donnés, ou que Tu as révélés dans ton Livre, ou que tu as enseignés à l’une de tes créatures, ou que Tu T’es réservés dans ta science secrète, (je Te demande) de faire en sorte que le Coran soit le printemps de mon cœur, la lumière de ma vue, la cause qui dissipe ma tristesse et qui éloigne mes soucis et mes chagrins. »[2]  

 

Un autre traitement aussi peut être que la personne dise :   

 

« Pas de divinité en dehors de Toi ! J’ai été vraiment du nombre des injustes. »  

 

Celui qui veut en savoir plus peut consulter les livres écrits par les savants dans le domaine des invocations, tels Al-Wâbil us-Sayyib d’Ibn ul-Qayyim, Al-Kalim ut-Tayyib de Cheikh ul-Islam Ibn Taymiyya, les invocations Al-Adhkâr)  d’An-Nawawî, ainsi que Zâd ul-Macâd d’Ibn ul-Qayyim.  

 

Cependant, lorsque la foi s’affaiblit, les gens acceptent de moins en moins les traitements « islamiques ». De nos jours, les gens comptent plus sur les traitements médicamenteux que sur les traitements islamiques. Plus la foi est grande plus les traitements islamiques sont efficaces. Ceux-là peuvent même s’avérer plus efficaces que les médicaments. Tout le monde connaît l’histoire de l’homme envoyé par le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, avec une délégation. Ce groupe se rendit chez une tribu arabe, mais ses membres ne leur offrirent pas l’hospitalité. Allah, le Tout-Puissant, voulut que le chef de la tribu ait été mordu (par un serpent). Les membres de sa tribu se dirent : « Allons voir ce groupe (les Compagnons) qui sont venus chez nous, peut-être trouverons-nous une personne qui pratique la Ruqiya. » Les Compagnons leur répondirent : « Nous ne pratiquerons la Ruqiya à votre chef que si vous nous donnez tant et tant de moutons. » Ils acceptèrent, alors un des Compagnons pratiqua la Ruqiya au chef de la tribu en lisant juste la Fâtiha, et l’homme mordu se leva comme s’il avait été libéré de prison. C’est donc l’effet qu’a produit la lecture de la Fâtiha sur cet homme, car elle a été lue par un cœur rempli de foi. Le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, leur dit après leur retour :  

 

« Comment avez-vous su que la Fâtiha est une  Ruqiya ? »[3]  

 

Mais de nos jours, la piété et la foi des gens se sont affaiblies. Les gens ne croient qu’aux phénomènes matériels visibles, mais en réalité, c’est une épreuve pour eux. A l’inverse, est apparue une catégorie de charlatans qui profitent de la détresse des gens pour leur extorquer de l’argent, en prétendant qu’ils sont des lecteurs du Coran pieux. Cependant, ce sont de véritables escrocs. Les gens se sont partagés entre deux extrêmes : ceux qui disent que la lecture [du Coran] n’a aucun effet, et ceux qui profitent des gens avec des lectures trompeuses. Enfin, d’autres sont dans le juste milieu.

.

 

  • Fatwa du Cheikh Otheimine
  • Recueil de Cours et de Fatwas de la Mosquée Sacrée de la Mecque, vol. 3, pages 385 et 386. 

[1] Ruqiya : exorcisme qui se pratique en lisant sur le malade des versets coraniques et des invocations tirées de la Sunna du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui. 

[2] Rapporté par Ahmad (n°1/391, 452). 

[3] Rapporté par Al-Bukhârî, chapitre de l’embauche (n°2276) et Muslim, chapitre de la paix (n°2201).

 

http://www.fatawaislam.com/index.php?option=com_content&task=view&id=1110&Itemid=1361

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 14:15

 

 

 

 

 

 Comment savoir si le malheur qui nous atteint est une épreuve ou le résultat de la colère d'Allah ?

Shaikh Ibn Bâz


Question :

Si une personne est éprouvée par la maladie ou une chose mauvaise dans sa personne ou ses biens, comment peut-elle savoir si cette affliction est une épreuve ou une colère d’Allah ?


Réponse :

Allah éprouve Ses serviteurs dans l’aisance et l’adversité, dans la dureté et l’abondance. Parfois Il les éprouve pour les élever en degrés, pour renforcer leur rappel d’Allah (dhikr) et multiplier leurs bonnes actions comme Il l’a fait pour les Prophètes et les Messagers (عليهم الصلاة والسلام) ainsi que les pieux parmi les serviteurs d’Allah, comme l’a affirmé le Prophète :
« Ceux qui ont les épreuves les plus difficiles sont les prophètes, puis ceux qui les suivent le mieux, puis ceux qui les suivent.»


Et parfois, Allah fait cela en conséquence des désobéissances et des péchés, le châtiment est alors anticipé, comme Allah le dit :


وَمَا أَصَابَكُمْ مِنْ مُصِيبَةٍ فَبِمَا كَسَبَتْ أَيْدِيكُمْ وَيَعْفُو عَنْ كَثِيرٍ
Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis. Et Il pardonne beaucoup.
{As-Shûra : 30}


L’homme est en général négligent et manque à ses obligations. Ce qui lui arrive comme malheurs est donc le résultat de ses péchés et de son laisser-aller dans l'application des ordres d’Allah. Et si un des pieux serviteurs d’Allah est éprouvé par la maladie ou autres, c’est une épreuve du même genre que celles des prophètes et des messagers. Ceci afin de les élever en degrés et multiplier les récompenses, et pour qu’il soit un modèle pour les autres dans la patience et l’endurance.


En conclusion, parfois l’épreuve arrive pour élever [la personne] en degrés et multiplier les récompenses comme le fait Allah pour les prophètes et la plupart des gens de bien. Et parfois, l’épreuve se produit en guise d’expiation des péchés comme dans Sa parole :


مَنْ يَعْمَلْ سُوءًا يُجْزَ بِهِ
Quiconque fait un mal sera rétribué pour cela
{An-Nisaa : 123}


Et d’après la parole du Prophète « Tout ce qui arrive au musulman comme angoisse, peine, fatigue, maladie, tristesse et tout autre mal, alors Allah lui expie de ses péchés même lorsqu’une épine le pique. » Et sa parole :
« Si Allah veut le bien pour une personne, Il l’éprouve. ».

Et ce peut être un châtiment anticipé à cause des péchés et l’absence de repentir, conformément au hadith du Prophète où il dit : « Si Allah veut le bien pour Son serviteur, Il lui anticipe son châtiment dans le bas-monde, et si Allah veut le mal pour Son serviteur, Il le laisse avec ses péchés jusqu’à ce qu’il en soit châtié le Jour du Jugement. » [Rapporté par Tirmidhi qui l’a authentifié]



Source :http://www.ibnbaz.org.sa
Traduit par : Ummu-Anass


http://al.houda.free.fr/forum/

 

http://saliha.forumactif.net/diverses-fatwas-f46/epreuve-ou-la-colere-d-allah-t1623.htm#31541

 

 

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 14:10

 
 
  
 
 السلام عليكم و رحمةالله و بركاته 
 
Le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) a dit : « Le meilleur d’entre vous est celui qui est le meilleur avec sa famille. Et je suis le meilleur avec ma famille. »

Beaucoup de personnes – avec un grand regret – ont un bon comportement avec les gens, mais n’ont pas ce bon comportement avec leur famille. Ceci est une grave erreur et un retournement de la réalité [Haqâ-îq]. [/center]

Comment peux-tu avoir un bon comportement avec les gens éloignés [de toi] et un mauvais comportement avec les proches ?
Il peut dire : « Parce que les proches, je m’occupe d’eux. »
Nous disons : « Ceci ne doit pas être la raison d’un mauvais comportement avec eux, car les proches sont les personnes les plus en droit de ton excellence à leur égard, dans la compagnie et la vie familiale.
Tels sont les propos de la personne qui a dit :
« Ô Messager d’Allâh ! Quelle est la personne la plus en droit de ma compagnie ? » - Il répondit : « Ta mère » - « Et ensuite qui ? » Répondit l’homme - « Ta mère » - « Et puis qui encore ? » - « Ta Mère » - « Et puis qui ? » - « Ton père. » [1]

Mais les faits, pour certaines, personnes sont contraires à cela. Tu le trouves d’une mauvaise compagnie avec sa mère alors qu’il est d’une bonne compagnie avec sa femme. Il devance l’excellence du comportement avec sa femme alors qu’elle à une position de captive [Assîr] auprès de lui. Tels les propos du Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) qui a dit :
« Je vous recommande à l’égard des femmes le bien, car elles sont un soutien auprès de vous. » [2]. Ce qui indique sa position de captive.


En résumé, l’excellence dans le comportement avec sa famille, les gens, les compagnons et les proches fait parti des nobles caractères. [3]


______________________________


Notes

[1] Rapporté par al-Bukhârî et Muslim
[2] Rapporté par at-Tirmidhî qui le considère bon et authentique - Hassan Sahîh
[3] Kitâb « Makârim al-Akhlâq » du SHeikh Ibn ‘Uthaymîn, p.30-31 - Edition Dar ul-Wattan Linachir

http://al-bayan.fr/t391-Le-meilleur-d-entre-vous-est-celui-qui-est-le-meilleur-avec-sa-famille.htm
 

tirée du forum pour soeurs:  http://saliha.forumactif.net/ahadith-et-explications-f12/le-meilleur-d-entre-vous-est-celui-qui-est-le-meilleur-avec-sa-famille-t1944.htm

 

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 14:06

  

 

 

Le Messager d'Allah (صلى الله عليه و سلم) a dit: " Le scribe de gauche lève la plume pendant six heures au sujet du serviteur musulman qui commet un péché, si ce dernier le regrette et sollicite le pardon d'Allâh, le scribe le néglige. Sinon, il note un seul péché. "

 (Authentifié par Cheikh Naçir-din al-Albâni (rahimoullah) dans: Silsilât al-Ahâdîth al-Sâhiha. N° 1209)

 

 

 

 

 

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:58

بسم الله الرحمن الرحيم

 

السلام عليكنّ و رحمة الله و بركاته



Shaykh Ibn Bâz

 

Question 5 : J’apprends de nombreux versets du Coran, mais après un certain temps je les oublie. De même lorsque je récite, je ne sais pas si ma lecture est correcte, ensuite je m’aperçois que je faisais des erreurs. Pourriez-vous me conseiller ?

 

 

Réponse : Tu dois faire des efforts pour apprendre ce que tu peux du Livre d’Allah et réciter devant des frères pieux que ce soit dans les écoles, les mosquées ou à la maison, et tu dois y être attentif afin qu’ils corrigent ta récitation, d’après la parole du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) : « Le meilleur d’entre vous est celui qui apprend le Coran et l’enseigne. » (Al-Bukhârî) Les meilleurs des gens sont donc les gens du Coran qui l’ont appris, enseigné aux gens et mis en pratique.


Le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) a dit à ses Compagnons : « 
« Qui d’entre vous aimerait se lever tous les jours au bord d’une rivière ou d’une vallée avec deux chamelles pleines, sans commettre aucun péché ni rompre de liens de parenté. » Les gens dirent : « Ô Messager d’Allah, nous aimerions cela. » Il dit : « Venir de bon matin à la mosquée pour enseigner ou réciter deux versets du Coran est meilleur que deux chamelles, trois versets sont meilleurs que trois chamelles, et quatre versets sont meilleurs que leur équivalent en nombre de chameaux. » (Muslim)

Cela nous montre le mérite qu’il y a à apprendre le Coran, il te faut donc apprendre le Coran avec les frères connus pour leur maîtrise de la lecture du Coran, afin que tu profites d’eux et récite correctement.

Quant au fait que tu oublies, tu ne commets aucun péché en cela, car tout homme oublie, comme le Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) l’a dit : « Je suis un homme comme vous, j’oublie tout comme vous oubliez. » (Al-Bukhârî et Muslim) Et un jour, il a entendu quelqu’un réciter et a dit : « Qu’Allah lui fasse miséricorde, il m’a rappelé un verset que j’avais oublié dans telle sourate. » (Al-Bukhârî et Muslim)

L’homme peut oublier certains versets puis s’en souvenir, ou quelqu’un peut les lui rappeler. Et il est meilleur qu’il dise : « on me les a fait oublier », d’après ce qui est rapporté du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam) : « Qu’aucun d’entre vous ne dise j’ai oublié tel et tel verset, on lui a plutôt fait oublier. » (Muslim) C'est-à-dire que c’est le diable qui lui a fait oublier.

Quant au hadith : « Il n’y a pas un homme qui apprend le Coran puis l’oublie sans qu’il ne rencontre Allah, au Jour de la Résurrection, mutilé. », c’est un hadith dhacîf qui n’est pas confirmé du Prophète (salallahu ‘alayhi wasalam).

Et l’homme ne choisit pas d’oublier, et il ne peut en être préservé. Mais ce que tu dois faire c’est apprendre ce que tu peux du Livre d’Allah, le réviser et le lire devant quelqu’un qui maîtrise la récitation afin qu’il te corrige. Qu’Allah t’accorde le succès et facilite ton entreprise.

Source : Majmûc Fatâwâ Ibn Bâz (1/368).

Traduit par les Salafis de l’Est

 


http://www.salafs.com/modules/news/article.php?storyid=10098
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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:49



Les chapelets pour le dhikr

 

Shaykh Muhammad Nasir-ud-Din Al-Albani

 

 

 

Shaykh Muhammad Nasir-ud-Din Al-Albani a mentionné dans Silsila Ad-Da'ifa (1/110), où il cite le hadith (faible) : « Quel bon rappel est la subha [masbaha] (chapelet pour le dhikr) »,

 

 

 

A mon avis, la signification de ce hadith est invalide pour de nombreuses raisons :

 

 

 

Premièrement, la subha [masbaha] est une bid'a et n'était pas connue à l’époque du prophète (salallahu 'alayhi wa-sallam). Cela est arrivé après, alors comment se pourrait-il qu’il (salallahu 'alayhi wa-sallam) ait encouragé ses compagnons (radiallahu 'anhum ajma'in) à faire quelque chose qui leur était inconnu ?

 

 

 

La preuve pour ce que j'ai dit est la narration rapportée par Ibn Wadda dans Al-Bid’a wa-nahi 'anha de Al-Salt ibn Bahram, qui a dit :

 

 

 

« Ibn Mas'ud est passé devant une femme qui avait [une masbaha (chapelet)] avec lequel elle faisait le tasbih et il l'a cassé et jeté de côté, puis il est passé devant un homme qui faisait le tasbih avec des cailloux, il lui a donné un coup de pied et a alors dit : « Tu penses que tu es meilleur que les compagnons, mais tu suis une bid'a injustifiée ! Tu penses que tu as plus de science que les compagnons de Muhammad (salallahu 'alayhi wa-sallam)! »

 

 

 

Son isnad est sahih jusqu’à As-Salt, qui est un des disciples  dignes de confiance (thiqat) des Tabi'in.

 

 

 

Deuxièmement, cela va contre la guidée du prophète (salallahu 'alayhi wa-sallam). 'Abdullah ibn ' Amr (radiallahu 'anhu) a dit :

 

 

 

« J'ai vu le messager d'Allah (salallahu 'alayhi wa-sallam) compter le tasbih sur sa main droite. »

 

 

 

 

 

Article tiré du site clearpath.com

 

Source: Silsila Ad-Da'ifa

 

Traduit par les salafis de l’Est

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:48

السلام عليكم و رحمةالله و بركاته

 
 
 
 

L'HISTOIR DE moubarak, l'ouvrier perse



"Nuh ibnu maryam, un juge, du côté du Chem, avait un ouvrier qui s’appelait Moubarak (un perse converti à l’islam) qu’il avait envoyé surveiller un champ de raisins, car ils seront bientôt mûrs. L'ouvrier est parti et au bout de quelques semaines, Nuh ibnu Mariam va voir les raisins, il s'installe dans son jardin et dit à son ouvrier Moubarak de lui donner un peu de raisin.

L'ouvrier lui ramène un peu de raisin mais qui n’est pas mûr. Et Nuh ibnu Mariam lui dit que ces grains de raisins ne sont pas mûrs et lui demande d’autres raisins. Moubarak lui en ramène d’autres et Nuh ibnu Mariam les trouve encore pas bons.

Et il dit à Moubarak : « Ce n’est pas possible ! Tu ne sais pas faire la distinction entre des raisins qui sont bons et ceux qui ne sont pas encore mûrs ! » Mubarak lui répond :

« Tu m’as envoyé pour surveiller les raisins, pas pour les manger, car je n’en n’ai jamais goûté un seul ». Il n’y a pas touché par crainte de Allâh car ça ne lui appartient pas.

Ca, c’est l’homme de la religion dont le prophète nous parle. Alors, Nuh ibnu Maryam, quand il a vu le degré de crainte d’Allâh de son ouvrier, cette piété, il lui dit : « Je te demande de me conseiller : j'ai une fille que des gens sont venus demandés en mariage, certaines ont de l'argent, d’autres qui sont bien placées dans la société ...» . Alors Mubarak lui dit : « Notre chef (chez les Perses), il se marie pour la beauté ou pour l’argent, le chef les romains pour la beauté et votre chef (Muhammad) il se marie pour la religion, alors c’est à toi de choisir pour ta fille lequel de ces chefs tu suis.

Alors, Nuh ibnu Maryam est allé vers sa fille et lui demande si elle voudrait épouser Mubarak. Elle lui demande : « Ô mon père, crois-tu qu’il est bien pour moi ? » Et le père lui répond que oui. La fille lui répond d'accord. Elle a compris que son père lui cherche le bien. Il part demander à Moubarak d’épouser sa fille qui a accepté et ils ont eu un enfant Abdallâh ibnu mubarak, qui sera le plus grand savant dans le hadith de la communauté musulmane."

 

 

 

petite histoire tirer du dourour du frére abou anas sur "la pieté dans le mariages "
site dourous.free

 
 

forum spécialement pour soeur: http://saliha.forumactif.net/forum.htm

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:46

السلام عليكم و رحمة الله و بركاته

 

بسم الله الرحمن الرحيم


 
 

Le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam) dit:  « Rappelez souvent de celle qui détruit les jouissances »

 
 
On demanda à ‘Atâ As-Sulaymî : « Pourquoi es-tu si triste ? » Il dit : « Malheur à toi, la mort plane sur moi, la tombe sera ma demeure, la Résurrection sera mon lieu de rendez-vous, le pont de l’Enfer sera mon chemin et je ne sais ce que l’on fera de moi. » (Sifah As-Safwah 3/327)
 
 
 Ibrâhîm ibn ‘Isâ rapporte : « Je n’ai jamais vu quelqu’un de plus triste qu’Al-Hasan. A chaque fois que je le rencontrais je pensais qu’il venait d’être atteint d’un malheur. » (Sifah As-Safwah 3/326)
 
 
On demanda à Abû Hâzim : « Comment se fait le retour vers Allah ? » Il dit : « Le retour du serviteur obéissant est comme celui de l’absent qui revient vers sa famille qui espère le revoir ; et le retour du désobéissant est comme le retour de l’esclave fugitif vers son maître en colère. » (Latâ’if Al-Ma’ârif /135)
 
 
Abû Ad-Dardâ dit : « Ô gens de Damas ! Venez écouter le conseil d’un frère ! Qu’ai-je à vous voir construire des maisons que vous n’habitez pas, amasser des biens que vous n‘utilisez pas, poursuivre des rêves que vous n’atteindrez pas ? Ceux d’avant vous ont bâti de grandes constructions, eu de grands rêves, amassé beaucoup de biens, mais leurs rêves les ont trompés, leurs biens sont devenus poussière et leurs demeures des tombes. » (Qasr Al-Amal, Ibn Abî Ad-Dunyâ / 160)

 
‘Ubayd Allah ibn Shamît rapporte qu’il a entendu son père dire : « Ô toi qui est trompé par ta santé, n’as-tu jamais vu quelqu’un mourir sans maladie ? Ô toi qui est trompé par la longueur de son existence, n’as-tu jamais vu quelqu’un mourir sans délai ? » (Qasr Al-Amal : 67)

 
Ibrâhîm An-Nakha’î pleurait auprès de son épouse et elle pleurait auprès de lui, et il disait : « Aujourd’hui nos œuvres sont présentées à Allah. » (lundi et jeudi) (Sifah As-Safwah, 2/673)
 
 
   Lorsque Bakr ibn ‘Abd Allah Al-Mazanî voyait un vieillard, il disait : « il est meilleur que moi, il a adoré Allah avant moi. » Et lorsqu’il voyait un enfant, il disait : « il est meilleur que moi, il a accompli moins de péché que moi. » (Muhâsabah An-Nafs /79)
 
 
   Al-Fudhayl ibn ‘Iyâdh disait : « Pauvre de toi ! Tu fais le mal et pense être noble ! Tu es bête et tu penses être intelligent ! Ta vie est courte et tes espoirs sont grands ! » (As-Siyar, 8/440)
 
 
‘Abd Allah ibn Mas’ûd a dit : « Le croyant ne trouve le repos que lorsqu’il rencontre Allah. » (Az-Zuhd : 194)

 

Ahmad ibn Harb a dit : « L’homme préfère (la fraîcheur) de l’ombre à (la chaleur) du soleil, puis il ne préfère pas le Paradis à l’Enfer ! » (Al-Ihyâ, 4/568)

 
 
Salmân ibn Muslim Al-Khutalî rapporte que Ghazwân Ar-Ruqâshî regarda l’immense foule au jour du ‘Id et il se mit à pleurer. Il dit : « Je n’ai rien vu qui ressemble plus au Jour de la Résurrection. » puis il rentra chez lui malade. » (As-Shu’ab, 3/3723)


   Abû Nu’aym rapporte que lorsque Sufyân At-Thawrî se rappelait de la mort, il restait plusieurs jours sans qu’on puisse rien tirer de lui. Lorsqu’on l’interrogeait sur une chose, il disait : « je ne sais pas, je ne sais pas. » (Musnad Ibn Al-Ja’d : 284)

 
 
Ar-Rabî’ ibn Badr passa à côté d’un groupe d’hommes alors qu’ils creusaient une tombe pour un mort. Il leur dit : « Qui est cet étranger parmi vous ? » Ils dirent : Ce n’est pas un étranger mais un proche et bien aimé. Il dit : « Et qui est plus étranger que le mort parmi les vivants ? » Et tous se mirent à pleurer. » (Al-Hilyah, 6/297)

 
 
Muslim ibn Ibrâhîm rapporte que Hishâm Ad-Dustawâ’î n’éteignait pas sa lampe jusqu’au matin, et il disait : « Lorsque je vois les ténèbres de la nuit, cela me rappelle les ténèbres de la tombe. » (Al-Hilyah, 6/278)
 
 
‘Umar ibn ‘Abd Al-‘Azîz dit à Abû Hazm : « Fais-moi une exhortation (un rappel). » Abû Hazm lui dit : « Allonge-toi, mets la mort auprès de ta tête et regarde ce que tu aimerais avoir auprès de toi à cet instant et fais-le maintenant, et regarde ce que tu détesterais trouver auprès de toi à cet instant et délaisse-le maintenant. » (Al-Hilyah, 5/317)
 
 
Khalîd Al-‘Asîrî a dit : « Nous sommes tous convaincu de la venue de la mort, mais nous ne voyons personne s’y préparer. Nous sommes tous convaincu de l’existence du Paradis, mais nous ne voyons personne œuvrer pour cela. Nous sommes tous convaincu de l’existence de l’Enfer, mais nous ne voyons personne le craindre. Jusqu’où pensez-vous vous élever ? Quels espoirs attendez-vous ? La mort ? Elle est le premier annonciateur de votre Seigneur, en bien ou en mal. Ô mes frères ! Dirigez-vous comme il se doit vers votre Seigneur. » (Qasr Al-Amal : 152)
 
 
Yahyâ rapporte que lorsqu’ils assistaient à un enterrement cela se voyait plusieurs jours sur leur visage. (Al-Musannaf, 7/205)
 
 
Lors de son agonie Yazîd Ar-Ruqâshî pleura et dit : je pleure pour ce que je vais laisser de jeûne et de prière de nuit. Il pleura encore et dit : « Ô Yazîd ! Qui priera pour toi après ta mort ? Qui jeûnera pour toi ? Qui se rapprochera d’Allah par des œuvres pieuses pour toi ? » (Latâ’if Al-Ma’ârif /519)
 
 
Abû Ja’far Al-Hanât rapporte : Nous avons assisté à la mort de ‘Abd Allah ibn Ja’far et nous étions assis à ses côtés lorsqu’il dit : « L’ange de la mort est arrivé ! Prends mon âme comme tu prendrais l’âme d’un homme qui a dit pendant 90 ans : j’atteste qu’il n’y a de divinité digne d’adoration qu’Allah et que Muhammad est Son serviteur et messager. » (As-Siyar, 15/554)
 
 

   Al-Mazanî rapporte : Je suis entré chez As-Shâfi’î lors de la maladie qui a entraîné sa mort, et je lui ai dit : comment te sens-tu ? Il me dit : « Je quitte cette vie, je me sépare de mes frères, je vais boire à la coupe du destin, je vais rencontrer mes mauvaises actions et revenir vers Allah, et je ne sais pas si mon âme se dirigera vers le Paradis afin que je la félicite ou si elle se dirigera vers l’Enfer afin que je lui présente mes condoléances. » puis il pleura. » (As-Siyar, 5/99)

 
 
 
tirée du site: http://www.salafs.com/modules/news/article.php?storyid=10112

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:37

  

 

السلام عليكم و رحمةالله و بركاته


La journée du croyant

Shaykh Husayn Al-‘Uwayshah

 

 Accomplis-tu la prière du Fajr en groupe chaque matin à la mosquée ?

 Accomplis-tu les cinq prières quotidiennes en groupe à la mosquée ?

 As-tu lu quelque chose du livre d’Allah aujourd’hui ?

 T’appliques-tu dans les évocations après chaque prière ?

 Préserves-tu tes prières surérogatoires avant et après chaque prière obligatoire ?

 As-tu prié avec crainte et méditation aujourd’hui ?

 T’es-tu rappelé de la mort et de la tombe ?

 T’es-tu rappelé du jour dernier et de ses horreurs et de ses difficultés ?

 As-tu demandé trois fois à Allah qu’il te fasse entrer au paradis ?

 As-tu demandé trois fois à Allah protection contre le feu ? Car le Prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a dit : « Celui qui demande trois fois le paradis à Allah, le paradis dit : Seigneur, fais-le entrer au paradis. Et celui qui demande trois fois la protection contre le feu, le feu dit : Seigneur, préserve-le du feu » (Sahîh Al-Jâmi’)

 As-tu lu des paroles du prophète (salallahu’ alayhi wasalam) ?

 As-tu pensé à t’éloigner des mauvaises assises ?

 As-tu essayé d’éviter de trop rire et de trop plaisanter ?

 As-tu pleuré par crainte d’Allah le Très-Haut aujourd’hui ?

 As-tu prononcé les évocations du matin et du soir ?

 As-tu demandé pardon à Allah pour tes pêchés aujourd’hui ?

 As-tu demandé à Allah le martyre avec sincérité ? Le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a dit : « Celui qui demande à Allah le martyre avec sincérité, Allah lui fait atteindre le degré des martyrs quand bien même il meurt dans son lit » (Muslim).

 As-tu demandé à Allah qu’il raffermisse ton cœur dans sa religion ?

 As-tu profité des heures d’exaucement des prières pour invoquer Allah ?

 As-tu acheté un nouveau livre sur l’islam pour accroître tes connaissances dans ta religion ?

 As-tu demandé pardon pour les croyants et les croyantes ? Car il te sera inscrit une bonne action pour chaque croyant et croyante.

 As-tu loué Allah pour le bienfait de l’islam ?

 As-tu loué Allah pour les bienfaits de l’ouïe, de la vue, de la raison et le reste de ses bienfaits ?

 As-tu dépensé pour les pauvres et ceux qui étaient dans le besoin aujourd’hui ?

 As-tu délaissé la colère pour une cause te touchant directement, et essayé de ne te mettre en colère que pour Allah le Très-Haut ?

 T’es-tu éloigné de l’orgueil et de l’arrogance ?

 As-tu visité un de tes frères en Allah ?

 As-tu prêché tes frères, tes voisins, et ceux avec qui tu es en rapport ?

 As-tu été bienfaisant envers tes parents ?

 Lorsqu’une épreuve t’a touché, as-tu dit : « C’est à Allah que nous appartenons, et c’est vers lui que se fera notre retour » ? Car le prophète (salallahu’ alayhi wasalam) a dit : « Prononcez la formule de retour à Dieu pour tout, même pour les lacets de vos chaussures, car cela fait partie des épreuves ». Shaykh Al-Albâni l’a déclaré Hasan dans Sahîh Al-Kalam At-Tayyib (n°140).

 As-tu fait cette invocation aujourd’hui : « Seigneur, je me réfugie auprès de toi contre le fait de t’associer quelque chose alors que je sais, et je te demande pardon pour ce que je ne sais pas ». Car celui qui fait cette invocation, Allah éloigne de lui le polythéisme majeur et mineur (Sahih Al-Jâmi’).

Source : conclusion de son livre Al-Qabr

Traduit et publié par les Salafis de l’Est<...


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  • : Al-Awzâ’î a dit : « Patiente sur la Sunna, arrête-toi là où les gens se sont arrêtés, dis ce qu’ils ont dit, abstiens-toi de ce dont ils se sont abstenus, et suis la voie de tes pieux prédécesseurs, car ce qui leur a suffit te suffira. » [Al-Lâlakâ’î dans Sharh Usûl Al-Ictiqâd (315)] (( Si vous remarquez des erreurs, veuillez m'en avertir barakallahou fikom ))
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