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31 août 2012 5 31 /08 /août /2012 19:11

Vidéo: l'histoire de 6 frères qui allaient être

 

exécutés

 


 
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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 08:15
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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 15:27
L’histoire du « djinn » qui se fit passer pour Ibn Taymiyyah !
Ainsi que la ruse des djinns dans les faux prodiges auprès des gens

 

SHeikh al-Islâm Taqî ad-Dîn Abî al-’Abbâs Ahmad Ibn ’Abdel-Halîm Ibn ’Abdel-Sallâm Ibn Taymiyyah al-Harânî


dimanche 21 novembre 2004, par Ismaïl


BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm


Il est possible qu’un djinn rencontre en une terre désertique une personne qui peut être un émir, un roi ou un mécréant assoiffé et que la mort menace [dû à cette soif]. Il [le djinn] se montre à lui sous une forme humaine, l’appelle à l’Islâm et le fait se repentir, il le salue en lui serrant la main, lui donne à manger et lui indique son chemin. L’homme lui demande : « Qui es-tu ? » et il lui répond : « Je suis untel », comme cela m’est arrivée une fois.


Alors que je me trouvais en Egypte dans une forteresse, une personne vint dire auprès de beaucoup de Turcs et notamment à un de leur émir : « je suis Ibn Taymiyyah », et l’émir ne douta aucunement qu’il était moi. Faisant part de cela au roi [Malik] de Mâradîn, celui-ci envoya quelqu’un en Égypte alors que je me trouvais auprès d’un puits, duquel je n’étais pas sortit. Aussi, le djinn traitait les Turcs comme je le faisais moi-même lorsqu’ils venaient à Damas, en les appelant à l’Islâm, et après qu’ils aient attesté l’attestation de foi je leur donnais à manger de ce que j’avais. Il faisait donc cela comme je le faisais, par respect pour moi. Un groupe de personne parmi les gens me dirent : « Il se peut qu’il soit un ange ? » Je leur répondis : « Non, car l’ange ne ment pas et celui-ci a prétendu être Ibn Taymiyyah, et il savait bien qu’il mentait sur cela ! » [1]

[...]


Je connais personnellement des personnes à qui des plantes ont parlé en leur disant des choses utiles, mais ce ne sont rien que des Satans qui sont entrés en elles [les plantes]. Et j’en connais à qui des pierres et des arbres ont dit : « Félicitations à toi Ô Allié d’Allâh ! » Et lorsqu’ils récitent « Âyat ul-Kursî » ils les font fuir. Je connais une personne qui est sortit pour chasser des oiseaux, et l’un d’entre eux lui a dit : « Prends-moi afin de nourrir les pauvres ! » C’était un Satan qui était entré dans cet oiseau comme il entre dans l’être humain et parle. Certains d’entre eux sont dans leur maison verrouillée, et soudainement ils se retrouvent dehors sans que la porte ne se soit ouverte, ou il peut être à l’extérieur et se retrouver à l’intérieur, et cela peut aussi être aux portes d’une cité, et c’est un « djinn » [démon] qui les transporte très rapidement. Quelquefois, le « djinn » leur montre la lumière, ou leur amène celui qu’ils demandent, de même ce sont des « Chayâtînes » qui ont prit la forme de la personne qu’ils désiraient. Et lorsque « Âyat ul-Kursî » est récitée, toutes ces choses disparaissent aussitôt.


Je connais une personne à qui on a dit : « Je viens par ordre d’Allâh. » [Et cette personne] lui promit qu’elle était le « Mahdî » que le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) avait prédit. Il lui fît voir des prodiges de sorte de mettre dans son cœur [des images] d’oiseaux et de sauterelles qui volent à sa droite et sa gauche, et ensuite ils vont là où la personne a pressentit [imaginé]. Il peut lui mettre dans le cœur [des images de] certains animaux qui se lèvent devant lui, ou se couchent, ou se déplacent, et ensuite cela se produit comme il le pensait sans aucun mouvement de sa part. Il peut l’amener à la Mecque et le ramener, ou il peut se présenter avec des personnes de grande beauté et dire que ce sont des anges qui désiraient le visiter. Il va s’interroger : « Comment des anges peuvent-ils venir sous forme de jeunes garçons ? » Et lorsqu’il lève sa tête, il verra qu’ils ont des barbes. Et il [le djinn] lui dira : « Le signe que tu es le Mahdî est une marque qui va apparaître sur ton corps », ensuite [cette marque] apparaît et il la voit. Toutes ces choses font parti de la ruse du « Chaytân » [...] [2]

 

 

[1] Madjmu’ al-Fatâwa de Ibn Taymiyyah, 13/52

[2] Madjmu’ al-Fatâwa de Ibn Taymiyyah, 11/165-166

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 21:27

talbibl.jpg

On rapporte d’un certain prédécesseur qu’il a dit à son élève :

 

Que feras-tu de Satan s’il t’incite à commettre une faute ?

Il a répondu : Je le combattrais.

Il a dit : Mais s’il recommence ?

Il a répondu : Je le combattrais.

Il a dit : Mais s’il recommence ?

Il a répondu : je le combattrais.

Il a dit : Cela va être long. Ne vois-tu pas que si tu passais près d’un troupeau et que le chien aboie pour toi ou t’empêche de passer, que ferais-tu ?

Il a répondu : Je m’endurcirais et je le repousserais autant que possible.

Il a dit : Ceci sera long pour toi. Mais demande au propriétaire du troupeau de l’éloigner de toi. »

 

Extrait du livre : Tablîs Iblis, les ruses de satan. Ibn al-Jawzi, 2ème édition, éditions SABIL, 2005, p. 59

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 12:05

 

AT_banniere2.jpg

 

" .....Certes Allah défend (parfois) cette religion par (le biais) d'un homme pervers...."

Rapporté Boukhari



Voulant illustrer la véracité de cette parole du prophète (sallallahou 'alaihi wa salam), le Sheikh Muhammad Aman Al-Jami (termina un de ses cours) en racontant à ses élèves l'anecdote (dont voici le résumé) : 


Un frère ayant étudié à l'université Islamique de Médine (et qui suivait la voie des pieux prédécesseurs) partit en Afrique.

Lorsque les jeunes (de là ou ce frère vivait)surent que ce frère était un étudiant (de Médine) et qu'ils virent chez lui sa maitrise du dogme (des pieux prédécesseurs) et de la Sunnah, ils commencèrent à se rassembler autour de lui (en assistant à ses discours et ses prêches) et firent de plus en plus nombreux. 

Le grand nombre de personnes qui commençait à suivre cet étudiant (et délaissant les égarements des Soufis) provoqua la colère des Shouyoukh (des confréries) Soufis qui par jalousie décidèrent de poser des problèmes à cet étudiant (afin qu'il cesse sa Darwa) et de l'embêter de plusieurs manières notamment en déversant des ordures devant sa porte. 

Excedés par les agissements des Soufis, les élèves du frère lui suggérèrent de porter plainte et d'en
 informer les autorités, mais jugeant la patience préférable au fait d'aller se plaindre aux autorités qui étaient chrétiennes, il refusa et continua donc sa darwa. 

 Quelques temps après, les Shouyoukh Soufis allèrent se plaindre aux autorités en leur disant plusieurs choses, tels qu'en affirmant qu'une personne venue du Hijaz avait altéré leur dogme, qu'il était entrain d'égarer les jeunes et qu'il fallait donc empêcher cela. 

 

Le gouverneur (qui était chrétien) fit donc amener l'étudiant et après lui avoir demander de se présenter, il demanda au jeune : " D'ou est-tu ?" 

 L'étudiant répondit : d'Arabie 

 Le gouverneur dit : Tu es diplômé ? 

Le jeune répondit : Oui 

Le gouverneur demanda : d'ou proviennent tes diplômes ? 

L'étudiant répondit : de l'université Islamique de Médine, ville de [notre]prophète. 

Le Gouverneur regarda alors les Shouyoukh Soufis et leur demanda : Et vous, ou avez-vous étudiez ? 

Les Shouyoukh soufis répondirent : nous avons étudié ici. 

S'adressant au Shouyoukh soufis, le Gouverneur leur dit Alors : Ecoutez-moi ! Vous êtes musulmans ? Votre prophète est originaire d'Arabie (comme ce jeune) 

Etant donné que Votre prophète est originaire d'Arabie, que ce jeune est lui aussi d'Arabie, que l’endroit d’où vient ce jeune est le berceau de l'Islam et qu'en plus il est diplômé de l'université de Médine, la ville de votre prophète !

J'ai plutôt tendance à croire que c'est lui qui est sur la vérité et que votre pratique est la conséquence de l'altération que votre religion a subit ici.

Donc à partir d'aujourd'hui, soit vous apprenez votre religion auprès de cet etudiant, soit vous vous taisez, et enfin je ne veux plus jamais voir l'un d'entre vous venir se plaindre à moi (concernant cette affaire). 

 

Le Sheikh Muhammad Aman après avoir raconté cette anecdote dit :

"C'est de sa manière que (ce jour là) Allah fit triompher la vérité.

Lorsqu'on m'a raconté cette anecdote j'ai pensé à la parole du prophète (sallallahou 'alaihi wa salam) : 

"إن الله ليؤيد هذا الدين بالرجل الفاجر"

" Certes Allah défend (parfois) cette religion par un homme pervers"



Et le message
r d'Allah a dit Vrai !" 

 

copié de fourqane.fr


http://3ilm.char3i.over-blog.com/

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 13:06

Le cheikh ,le pieux, abou al-qassim al khazzaz al baghdadiy a dit:
j'ai entendu le qadiy abu bakr mohamed ibn 'abdel baqiy ibn mohamed al Bazzâr el Ançâry dire :

Je séjournais à Mekkah,qu'ALLAH la garde,quand un jour la faim me frappa,et je trouvais rien qui puisse repousser cette faim, je trouvai un sac en "ibrissim" serré par une houppe en "ibrissim" aussi,je le pris et le ramena chez moi, je l'ouvris et j'y trouvai un collier de perles dont je n'avais jamais vu de semblable de ma vie !

Puis je sortis, et là un cheikh qui "criait" à ce collier et avec lui une bourse de 500 dinars et il disait : ceci sera pour celui qui nous rendra le sac qui contient les perles ! Alors je dit : je suis dans le besoin et je suis affamé et si je prends cet or je pourrais en profiter, je lui rendis alors son sac,
je lui dis : viens ! et je l'emmenai chez moi, il me donna la description du sac, de la houppe et des perles ainsi que leur nombre et le fil par lequel ils étaient attachés, je sortis le sac et le lui passa, il me livra les 500 dinars mais je ne les accepta pas et je me dis,il faut que je les lui rende et je ne dois pas prendre de récompense de lui, il me dit,tu dois absolument les prendre et il insista beaucoup mais je n'accepta point alors il me laissa et s'en alla.

Quant à moi, je sortis de Mekkah et monta la mer, le bateau se cassa et les gens se noyèrent et leurs biens furent perdus, mais moi je réussis à me sauver en tenant sur une planche du bateau et je restai ainsi dans la mer pendant un certain temps ne sachant ou j'allais ; un jour j'arrivai sur une ile ou il y avait des gens alors je pris place dans une des mosquées, ils m'entendirent lire et il ne resta personne sur l'ile sans qu'il ne vienne à moi et me dire : apprends moi le coran, et j'acquis de ces gens là beaucoup d'argent.

Puis un jour, je vis des feuilles d'un moshaf dans la mosquée, je les pris et me mit à les lire, alors ils me dirent : tu sais écrire ? Oui, répondis-je, ils me dirent : apprends nous l'écriture !

Et ils ramenèrent leurs garçons, enfants et jeunes, alors je leur apprit et là encore j'acquis beaucoup d'argent.

Après cela, ils me dirent : nous avons une orpheline et elle possède quelques biens,nous aimerions te marier à elle. Je refusai et ils dirent, si tu dois ! et ils me forcèrent et je finis par accepter.

Et le jour du mariage, ou ils la conduirent à moi, je dirigeai mon regard vers elle et là!je vis le collier ! il était là attaché à son cou, et je ne regardai plus que lui!

ils me dirent : ya sheykh ! tu as brisé le coeur de cette orpheline en ne regardant que son collier ! et elle tu ne l'as meme pas regardé!

je leur racontai alors l'histoire de ce collier,alors ils s'exclamèrent et crièrent "la-ilaha-ila-llah" et "allaho-akbar", jusqu'à ce que leurs cris parvinrent à l'ensemble des gens de l'ile!

je leur dis qu'est ce qui vous arrive ?!
et ils dirent ce cheikh qui a repris de toi le collier,c'est le père de cette fille!!!et il disait je n'ai trouvé dans ce monde de musulman loyale que lui !celui qui m'a rendu le collier et il invoquait "allahoma,reunis moi avec lui jusqu'à ce que le marie à ma fille !!!

et aujourd'hui cela s'est accompli !

je suis resté avec elle un certain temps et j'eus d'elle 2 enfants puis elle mourrut et j'hérita du collier moi et mes 2 enfants,puis les 2 enfants mourrurent à leur tour et le collier fut à moi, je l'ai vendu à 100 000 dinars !!!

et ce que vous voyez comme argent(ou bien) ce sont des restes de cet argent là !

rapporté par ibn radjab el Hanbaly dans dheyl tabaqât : 2/196
 

 

publié par: ismail abou ibrahim sur http://www.fourqane.fr/forum/viewtopic.php?t=11288&highlight=

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8 août 2009 6 08 /08 /août /2009 19:49
Your photo



Cheikh Salih Al Cheikh Rapporte dans [Charh Kachf Choubouhate K7 13 39 Mn 50 sec environs], l'anecdote suivante :


Cheikh Al Islam Mohamed Ibn Abdelwahab était assis avec ses élèves. Après avoir terminer l'enseignement de son livre Kitab Tawhid, Cheikh Al Islam voulait recommencer une troisième ou une quatrième fois l'étude de ce livre.


Alors ses élèves lui dirent : O Cheikh nous souhaitons étudier un autre livre, un livre dans le Fiqh ou le Hadith.


Le Cheikh rétorqua : Pourquoi [souhaitez vous un autre livre] ?


Ses élèves : En effet nous avons Compris At-tawhid, nous voulons une autre science.


Le Cheikh : Attendez donc, je vais réfléchir à cette question.


Quelques jours après, le Cheikh arriva en cours avec un visage trés troublé. Remarquant cela ses élèves lui demandèrent la raison.


Le Cheikh leur expliqua : Il m'est parvenue une chose qui m'a irrité


Les élèves : Quelle est cette chose ?


Le Cheikh : Il m'est parvenue que des Habitants d'une maison ont sacrifiés un coq [Pour un Jinn] devant leur portes. J'ai envoyé une personne afin de nous confirmer cette affaire.


Quelques temps après, ses élèves lui demandèrent concernant l'affaire qu'il leur avait mentionnés.


Le Cheikh leur répondit : " En Fait les habitants de cette maison n'ont pas sacrifiés pour autre qu'Allah, mais il s'agit d'untel qui a forniqué Avec sa mère. "


Choqués, Ses élèves s'écrièrent : " Nous Cherchons refuge auprès d'Allah !!! Il a forniqué avec sa mère ?! Nous Cherchons refuge auprès d'Allah !!! Il a forniqué avec sa mère...


Après avoir mentionné cette histoire Cheikh Salih Al Cheikh, explique que Cheikh Al Islam raconta cette histoire afin de leur montrer que le fait de dire " Nous avons compris At-tawhid " est de l'ignorance et c'est l'une des plus grandes ruses du Diable.


En effet, ils ont rendu plus grave un grand péché [qui est de Forniquer avec sa propre mère] que le polythéisme faisant sortir de l'islam.


En effet, leur coeur ne s'est pas irrité lorsque fut mentionné le Chirk faisant sortir de l'islam. Et ceci arrive également de nos jours, lorsque certains ignorants voient des grands péchés....s'énervent etc…mais quand ils entendent du Chirk Akbar, ou voient des gens commetre du Chirk comme sacrifier pour autres qu'Allah etc.. cela ne fait pas trembler leur coeurs.


Cela prouve leur ignorance. cela prouve qu'ils n'ont pas compris At-tawhid.



www.fourqane.com/forum/viewtopic.php?t=298

http://www.ahloul-hadith.fr/ahloul/articles/page/5/

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 13:48

السلام عليكم و رحمةالله و بركاته

 
 
 
 

L'HISTOIR DE moubarak, l'ouvrier perse



"Nuh ibnu maryam, un juge, du côté du Chem, avait un ouvrier qui s’appelait Moubarak (un perse converti à l’islam) qu’il avait envoyé surveiller un champ de raisins, car ils seront bientôt mûrs. L'ouvrier est parti et au bout de quelques semaines, Nuh ibnu Mariam va voir les raisins, il s'installe dans son jardin et dit à son ouvrier Moubarak de lui donner un peu de raisin.

L'ouvrier lui ramène un peu de raisin mais qui n’est pas mûr. Et Nuh ibnu Mariam lui dit que ces grains de raisins ne sont pas mûrs et lui demande d’autres raisins. Moubarak lui en ramène d’autres et Nuh ibnu Mariam les trouve encore pas bons.

Et il dit à Moubarak : « Ce n’est pas possible ! Tu ne sais pas faire la distinction entre des raisins qui sont bons et ceux qui ne sont pas encore mûrs ! » Mubarak lui répond :

« Tu m’as envoyé pour surveiller les raisins, pas pour les manger, car je n’en n’ai jamais goûté un seul ». Il n’y a pas touché par crainte de Allâh car ça ne lui appartient pas.

Ca, c’est l’homme de la religion dont le prophète nous parle. Alors, Nuh ibnu Maryam, quand il a vu le degré de crainte d’Allâh de son ouvrier, cette piété, il lui dit : « Je te demande de me conseiller : j'ai une fille que des gens sont venus demandés en mariage, certaines ont de l'argent, d’autres qui sont bien placées dans la société ...» . Alors Mubarak lui dit : « Notre chef (chez les Perses), il se marie pour la beauté ou pour l’argent, le chef les romains pour la beauté et votre chef (Muhammad) il se marie pour la religion, alors c’est à toi de choisir pour ta fille lequel de ces chefs tu suis.

Alors, Nuh ibnu Maryam est allé vers sa fille et lui demande si elle voudrait épouser Mubarak. Elle lui demande : « Ô mon père, crois-tu qu’il est bien pour moi ? » Et le père lui répond que oui. La fille lui répond d'accord. Elle a compris que son père lui cherche le bien. Il part demander à Moubarak d’épouser sa fille qui a accepté et ils ont eu un enfant Abdallâh ibnu mubarak, qui sera le plus grand savant dans le hadith de la communauté musulmane."

 

 

 

petite histoire tirer du dourour du frére abou anas sur "la pieté dans le mariages "
site dourous.free

 
 

forum spécialement pour soeur: http://saliha.forumactif.net/forum.htm

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