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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 11:10
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12 janvier 2012 4 12 /01 /janvier /2012 19:09

La récitation n’est que du bien818709783444.jpg

 

Selon ‘Aisha, qu’Allah l’agrée, Le Messager d’Allah, sur lui la paix et la bénédiction, a dit :


« Celui qui récite le Coran avec habileté (1) sera en compagnie des pieux et nobles anges écrivains. Quant à celui qui bégaie (2) en lisant le Coran, parce qu’il a du mal à le faire, il sera doublement récompensé.(3)(4).


1- Celui qui récite le Coran avec habileté


C’est une immense bonne nouvelle, pour celui qui apprend le Coran, le récite à la perfection et en multiplie la récitation, jusqu’à ce qu’il le fasse avec habileté, de savoir qu’il sera en compagnie des anges écrivains, qui sont les envoyés qu’Allah Tout Puissant détache pour guider les gens, ou les anges rapprochés, parce qu’ils se caractérisent par la qualité qui les honore : ils portent le Livre d’Allah le Très Haut, le transmettent et multiplient le rappel d’Allah le Très Haut.( 5)


2- Celui qui est doublement récompensé


La grâce d’Allah le Très Haut, Sa générosité et Sa facilitation du Coran pour les musulmans, font que, celui qui se tourne vers le Sublime Coran pour le psalmodier et le méditer, aura droit à une grande récompense auprès d’Allah le Très Haut. Cela ne fait pas de différence, qu’il lise le Coran habilement ou qu’il le fasse en bégayant, qu’il se donne beaucoup de peine et qu’il trouve la lecture ardue, dans lequel cas il aura droit à deux récompenses : l’une pour la lecture et l’autre pour la difficulté.


Cela signifie-t-il que celui qui a deux récompenses est mieux rétribué que celui qui récite le Coran habilement ?


L’imam al-Nawawi, qu’Allah lui fasse miséricorde, nous donne la réponse à cette interrogation (6): « Cela ne signifie pas que celui qui bégaie en lisant le Coran reçoit plus de récompenses que celui qui le récite habilement. Non ! Ce dernier est supérieur et reçoit une plus grande récompense, car il se trouve en compagnie des anges écrivains et il reçoit beaucoup de récompenses.


Il n’a pas mentionné ce statut à l’égard de quelqu’un d’autre. Comment celui qui n’a pas pris soin du Livre d’Allah le Très Haut, de sa mémorisation, de sa maîtrise, de la multiplication de sa lecture et de sa transmission autant que celui qui s’y est intéressé au point d’y exceller, pourra-t-il atteindre ce même rang ?


Pour celui qui y excelle, le Coran était tout d’abord ardu. Puis, il a gravi les échelons au point d’être comparé aux anges. (7)


Après tout cela, le musulman accepte-t-il que le Coran lui soit pénible, qu’il rencontre toujours des difficultés dans sa lecture et qu’il le fasse en bégayant ?


S’il y a un reproche à faire, il est adressé à ceux qui, par leur propre choix, bégaient dans la lecture du Coran et le trouvent ardu. Ceci s’explique par le fait qu’ils ont un certain niveau d’éducation et de maîtrise de la lecture, ou par le fait qu’ils sont de ceux qui détiennent de grands diplômes universitaires.


Ils sont sans aucun doute très négligents dans ce domaine et ceci est imputable à deux raisons, dont la meilleure est mauvaise :


1- soit qu’ils ont négligé le Livre d’Allah dès le début, s’en sont tenus à l’écart et la lecture leur est alors devenue difficile et pénible. Car on ne peut donner ce que l’on ne possède pas. Ils ne l’ont point appris.


2- Ou bien ils ont appris la lecture puis s’en sont détournés et l’ont désertée. Le temps a passé, ils ont renoncé à la récompense et par la suite la lecture leur est devenue ardue. Ceux-ci sont en grand danger s’ils ne se ressaisissent pas. Ils ont droit à la plus grande part de la parole du Très Haut :


« Et le messager dit : « Seigneur, mon peuple a vraiment pris ce Coran pour une chose délaissée ! » (al-Furqan :30)


Dans ce hadith, il y a une forte suggestion qu’il n’appartient pas au musulman, dans n’importe quelle situation, de se détourner de la lecture du Sublime Coran. Qu’il soit de ceux qui maîtrisent, brillent et excellent dans la récitation, ou de ceux qui ont une faible capacité à acquérir cette science en prétextant leur faiblesse pour abandonner la récitation.


De toute évidence, la pratique soutenue et les efforts sérieux mèneront vers la lecture excellente. Peut être même vers une excellente mémorisation par la suite. C’est une chose éprouvée ; aisée pour celui à qui Allah a donné la facilité et la réussite. (8)

_________________________________

 

1) Avec brio : parce qu’il est très habile en raison de sa mémorisation complète ; il ne s’arrête ni n’éprouve de difficulté dans sa lecture, parce que sa mémorisation est excellente.

2)Il bégaie : il hésite dans la récitation parce que sa mémoire est faible.

3) Il aura deux récompenses : une récompense pour la lecture et une autre pou son bégaiement dans la lecture et la peine qu’il encoure

4) Rapporté par Muslim, 1/550, hadith 798

5) Sahih muslim bi sharh al-nawawi, 6/85. Wa rattil al-qur’an tartila, p.19

6) Sahih muslim bi shrah al-nawawi 6/326

7) Al-Tidhkar fi afdal al-adhkar, p.83

8)Anwar al-qur’an, p.93-98


Titre: La Grandeur du Noble Coran
Auteur:  Mahmud ibn Ahmad ibn Salih al-Dawsary
Pages: Page 335-338
Edition: Daroussalam
Retranscription: Oumomeya

Site : www.rappel01.fr

Acheter le livre en ligne : www.daralmuslim.com

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 13:43

brume_montagne_lueurs_du_jour_naissant.jpg


La valeur, la grandeur et la force d’incidence du Coran sont telles que, si on l’avait fait descendre sur une montagne douée de raison, à l’instar des humains, tu l’aurais vue-en dépit de son extrême dureté et solidité- se soumettre et se fissurer par crainte d’Allah. Comme Allah le Très Haut dit :

 

« Si Nous avions fait descendre ce Coran sur une montagne, tu l’aurais vu s’humilier et se fendre par crainte d’Allah » (al-Hashr, 21).

 

C’est-à-dire que la montagne aurait écouté les avertissements, et ses rochers se seraient fissurés tant elle aurait été ébranlée par la crainte d’Allah.

 

La soumission (khushu’) : C’est le fait de courber la tête et de s’incliner. C’est-à-dire, que tu la verrais poser son sommet sur le sol.

 

La fissuration : C’est le fait de se fendre. C’est-à-dire qu’elle tremblerait et se fendrait par crainte d’Allah le Très Haut. (Al-Tahrir wa al-tanwir, 28/104)

 

Comment se fait-il que vos cœurs ne se soumettent, ni se fendent par crainte d’Allah, alors que vous avez compris l’injonction d’Allah et que vous avez réfléchi sur Son Livre ? (Tafsir ibn kathir, 4/343-344)

 

L’intention, en produisant un signe, est de faire ressortir la grandeur du Noble Coran ; d’inciter à la méditation de ses sublimes exhortations, car personne n’a d’excuse à ce sujet pour ne pas s’acquitter du droit d’Allah le Très Haut en exaltant Son Livre et admonestant celui qui ne respecte pas ce Sublime Coran.

 

Titre: La Grandeur du Noble Coran
Auteur: Mahmud ibn Ahmad ibn Salih al-Dowsary
Pages: Page 35-36
Edition: daroussalam
Retranscription: Oumomeya

Acheter le livre en ligne : www.daralmuslim.com

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4 janvier 2011 2 04 /01 /janvier /2011 21:42

images.jpgSHeikh Sâlih Ibn ‘Abdel-‘Azîz Âli ash-SHeikh (qu’Allâh le préserve)


lundi 3 janvier 2011, par Ismaïl


BismiLLehi ar-Rahmâni ar-Rahîm

Allâh – Ta’âla – dit : « Dis : Si vous aimez vraiment Allâh, suivez-moi, Allâh vous aimera alors et vous pardonnera vos péchés. » [Coran, 3/31]


Le ministre et savant, SHeikh Sâlih Âli ash-SHeikh (qu’Allâh le préserve), a expliqué que ce verset a été révélé au sujet des Chrétiens de Najrân, lorsqu’ils ont prétendu aimé Allâh. Allâh – ‘Azza wa Djal – a révélé à Muhammad (sallallahu ‘alayhi Wa sallam) de leur dire :

« Dis : Si vous aimez vraiment Allâh, suivez-moi, Allâh vous aimera »

Ce qui veut dire, que si vous prétendez aimer Allâh, cela n’est pas l’essentiel en soi. Le plus important est que vous soyez aimé par Allâh (en vos actes et paroles), et le chemin de l’amour d’Allâh – ‘Azza wa Djal – est que vous suiviez Son dernier des Envoyés, qui est Muhammad (sallallahu ‘alayhi wa sallam). Cela, comme l’ont dit les anciens pieux : « L’essentiel est d’être aimé (d’Allâh), et pas de se contenter d’aimer. » Et ce que nous devons prendre de ce verset est que le plus important n’est pas d’aimer (seulement Allâh), ou d’aimer l’Islâm, ou d’aimer la religion, ou d’aimer le secours d’Allâh – ‘Azza wa Djal, mais l’essentiel est que tu sois aimé ; autrement dit, que tu sois aimé en Allâh dans tes actions. Lorsque l’on regarde attentivement la situation des Chrétiens, nous voyons qu’ils prétendent être les enfants d’Allâh et se prétendent bien aimés auprès de Lui. Ceci dit, le sont-ils vraiment ? La réponse est non. Au contraire, leur revendication est vaine, et ce qui clair c’est le suivi (qui est la solution) :

« Suivez-moi, Allâh vous aimera »

De même, les Khâridjites parmi les sectes islamiques prétendent aimer Allâh, bien plus encore, le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) les a décrit en disant : « Ils feront tellement la prière, que la votre comparée à la leur ne sera rien, leur jeûne par rapport au votre ne sera rien, et ils sortiront de la religion comme la flèche qui pénètre une proie. » Cela, alors qu’ils font partie des gens faisant beaucoup de prières, des gens jeûnant beaucoup, et prétendent être parmi les gens qui aiment Allâh. Ils ont dans leur cœur un amour important pour Allâh, et ils ont une crainte d’Allâh de par leur amour, cependant, s’ils ne suivent pas la Sounnah, ne suivent pas la voie des Compagnons et qu’ils contredisent cela, ils seront parmi les gens qui subiront un dur châtiment, quand bien même ils étaient ancrés dans la religion. Nous demandons à Allâh – ‘Azza wa Djal – le bien-être. De la même manière, il en est pour les groupes parmi les groupes égarés, de même pour les Soufîs égarés ou certains innovateurs ou autres qu’eux parmi les sectes de la rhétorique chez qui il y a de la crainte, des larmes et de la peur d’Allâh – ‘Azza wa Djal. Aussi, l’essentiel pour l’adorateur n’est pas d’aimer Allâh, mais plutôt d’être aimé par Lui, comme l’ont dit les anciens pieux : « L’essentiel est d’être aimé (d’Allâh), et pas de se contenter d’aimer. » Ce qui veut dire, que l’essentiel n’est pas que toi tu aimes, mais la grande question est d’œuvrer dans l’amour d’Allâh en ta faveur. Et il n’y a qu’une seule voie qui est le fait de suivre le Prophète (sallallahu ‘alayhi wa sallam) extérieurement et intérieurement. Et le mal dans cela est le fait d’emprunter un cheminement individuel ou un cheminement avec autre que lui. Cette question est d’une grande importance, c’est une question d’amour de l’adorateur pour Allâh, et de l’amour d’Allâh pour Son adorateur.


SHeikh Sâlih Âli ash-SHeikh ajoute que certes, SHeikh al-Islâm (Ibn Taymiyyah) a écrit sur cela un fondement qu’il a appelé : « La règle dans l’amour » publié dans un ensemble de traités, il constitue un traité précieux sur le sujet quant à l’amour de l’adorateur pour Allâh, et de l’amour d’Allâh pour Son adorateur. Ibn al-Qayyîm (rahimahullâh) a lui-même écrit un livre d’une grande importance sur cela qui est : « Le jardin des amoureux », on y trouve un chapitre consacré, grandement expliqué. [1]

 

[1] Al-lalî ul-Bahîyyah fî Charh il-‘Aqîdat il-Lawâssitiyyah du SHeikh Sâlih Âli ash-SHeikh, 1/337-339

 

http://www.manhajulhaqq.com/spip.php?article634

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 16:41


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Questions :


Il -qu'Allah lui accorde Sa miséricorde- a été interrogé sur des gens qui font des fautes en récitant le Coran et quand quelqu'un le leur a reproché, l'un d'eux a répliqué, en disant: "Dix récompenses sont assignées à chaque faute?! ".

 

 

 

Réponse :

Selon le cheikh de l'islam, Taqî Ad-Dîn 'Abû Al-`Abbâs 'Ahmad ibn Taymiya: Que la louange soit à Allah. S'ils sont capables de ne pas faire d'erreurs en récitant, ce sera mieux; mais, s'ils en sont incapables, il n'y a pas de péché à cela, car ceci dépend de leur capacité.



Numéro de Fatwa : 8
Date : Mardi 8 Rajab 1422 Hâ' Le 25 Septembre 2001 Mîm
Source de Fatwa : Fatawa le Cheikh de l'islam Ahmad Ibn Taymiya
Référence de Fatwa : [ Collections des Fatâwa (Majmô` Al-Fatâwa), Vol.13, page: 422 ]

 

http://alminhadj.fr/modules/newbb/viewtopic.php?topic_id=120&forum=7

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30 décembre 2010 4 30 /12 /décembre /2010 16:34


826692933-copie-1.jpgQuestions :

Je suis de nationalité yéménite et me suis installé au Royaume de l'Arabie Saoudite il y a plus de dix ans. Je suis orphelin des deux parents et j'aime la lecture du Saint Coran et je le récite souvent dans la mosquée. Mais, il y a certains versets que je ne prononce pas correctement. C'est parce que je ne suis jamais allé à l'école. Est-ce que je commets de péchés en lisant incorrectement certains versets coraniques ou non? Veuillez m'éclaircir sur ce sujet.


Réponse :

Vous devez d'abord corriger votre lecture du Coran en l'apprenant sous la direction d'un enseignant connu par sa bonne récitation. Puis, répétez ce que vous venez de maîtriser dans la mosquée ou n'importe où; et tant que vous déployez d'efforts dans cette fin, Allah vous facilitera cette tâche. Selon ce hadith authentique, l'Envoyé d'Allah (que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur lui) a dit: "Celui qui récite le Coran habilement sera avec les (anges) ambassadeurs nobles et pieux. Quant à celui qui récite le Coran en bégayant et qui trouve pénible sa lecture, aura une double récompense" .

Numéro de Fatwa : 121

Date : Mardi 8 Rajab 1422 Hâ' Le 25 Septembre 2001 Mîm

Source de Fatwa : Fatawa du Comité Permanente des recherches scientifiques, de l'Ifta en la Royaume de l'Arabie Saoudite

Référence de Fatwa : Fatawâ du comité permanente des recherches scientifiques et de la délivrance des fatwas, 1re question de fatwâ No. 5948.

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 13:20

emg-serat

As-Sirâtoul-Mostaqîm

 

 

L’imam Ahmed rapporta dans son Mosnad, selon An-Nawwâs ibn Som’ân, que le Prophète (صلى الله عليه و سلم ) dit :

 

« Allah a donné comme exemple As-Sirât (le droit chemin) avec deux murs bâtis sur les deux côtés, plusieurs portes ouvertes se trouvent dans ces murs couverts par des rideaux baissés. Un annonciateur se trouve à l’entrée d’As-Sirât. Ce dernier crie en disant : « Ô gens ! Demeurez sur la voie et n’en déviez point ». Pendant ce temps, un annonciateur, qui se trouve au-dessus d’As-Sirât, avertit toute personne qui veut ouvrir l’une des portes : « Gare à toi ! Ne l’ouvre pas, car si tu l’ouvres, tu passeras à travers elle ». Le droit chemin est l’Islam, les deux murs sont les limites établies par Allah, les portes symbolisent ce qu’Allah a interdit, l’annonciateur qui se tient à l’entrée du chemin est le Livre d’Allah, alors que l’annonciateur qui se trouve au-dessus du chemin est le prédicateur qui est dans le cœur de chaque musulman ».1

 __________________________________

  1. Ahmed : 4/182

Source : Tafsîr Ibn Kathir(exégèse abrégé par un groupe d’oulémas sous la direction de cheikh Safiur-rahman Al-Mubarakpuri), édition : Darussalam, Volume 1, page 88-89

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20 avril 2010 2 20 /04 /avril /2010 08:00

coran-10

 

Ibn Kathîr a évoqué quelques règles parmi lesquelles :

 

 « Ne toucher le Coran et le lire qu’en état de pureté et se brosser les dents avec un siwâk avant la lecture ;

 

porter ses meilleurs habits ;

 

se tourner en direction de la Qibla ;

 

arrêter de lire lorsqu’on est en train de bâiller ;

 

ne pas interrompre la lecture pour parler sauf en cas de nécessité ;

 

être concentré dans la lecture ;

 

s’arrêter aux versets qui évoquent la promesse des récompenses et du Paradis pour implorer Allah de nous l’accorder, et aux versets qui évoquent la menace du châtiment pour implorer la protection d’Allah.

 

Ne pas laisser le Moushaf (exemplaire du Coran) ouvert et ne rien mettre dessus ;

 

Ne pas lire à haute voix en présence d’autres personnes qui lisent ;

 

Ne pas lire dans les marchés et les endroits où il y a du vacarme. »

 

 

Extrait tiré de la brochure :Le commerce fructueux, the islamic center at olk senaiah. Riyadh, arabie saoudite.

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25 février 2010 4 25 /02 /février /2010 16:28
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26 janvier 2010 2 26 /01 /janvier /2010 19:41

Lire le coran en direction de la qibla


15 ـ هل يجب استقبال القبلة عند التلاوة‏؟‏ 
ينبغي استقبال القبلة، لأن تلاوة القرآن عبادة، والعبادة يستحب فيها استقبال القبلة فإذا تيسر هذا فهو من المكملات، وإذا لم يستقبل القبلة فلا حرج في ذلك‏

Question :

Est-il obligatoire de s'orienter en direction de la Ka'abah lorsque l'on récite le Coran ?



Réponse :

Il convient de s'orienter en direction de la Ka'bah car la récitation du Coran est une adoration.

Or
il est conseillé pour les adorations de s'orienter en direction de la Ka'bah.

Si la personne concernée peut s'orienter vers la Ka'bah, cela parfaira son adoration .

La traduction de la fatwa de cheikh el fawzan tire d'el mountaqa min fatawas cheikh el fawzan volume 2 chapitre el quran el kariim, adab at-tilawa
http://www.darwa.com/forum/showthread.php?t=16446&highlight=Coran+direction+qibla
Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan

tirée de : http://3ilm.char3i.over-blog.com/article-lire-le-coran-en-direction-de-la-qibla-34938510.html
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